Le MC Alger, pensionnaire de la Ligue 1 de football, vit actuellement des "moments très difficiles", notamment en matière de finances, a reconnu, lundi à Alger, le président du conseil d'administration de la société sportive et commerciale (SSPA) du MC Alger, Abdelkader Bouhraoua.
Le MC Alger, pensionnaire de la Ligue 1 de football, vit actuellement des "moments très difficiles", notamment en matière de finances, a reconnu, lundi à Alger, le président du conseil d'administration de la société sportive et commerciale (SSPA) du MC Alger, Abdelkader Bouhraoua.
«La situation est devenue alarmante depuis quelques temps, d'autant que nous nous retrouvons avec un seul sponsor mais, en dépit de ces difficultés financières, nous ne sommes pas au point de déclarer faillite, du moins pas dans un avenir proche, d'autant que la loi nous donne un délai de deux exercices, soit jusqu'au décembre 2012, pour équilibrer la situation", a dit Bouhraoua lors d'un point de presse animé au siège du club à Chéraga (Alger).
Le président de la SPA a indiqué aussi que "le fait de ne pas disposer d'un stade d'où l'on pourra tirer des bénéfices provenant des recettes des matches et de la publicité, nous porte davantage préjudice".
Lors de l'été 2010, la direction du MCA a créé la société sportive et commerciale du club, avec à sa tête Abdelkader Bouhraoua, ancien dirigeant du club, pour répondre aux exigences du passage du football algérien au professionnalisme. «Dès le départ, je n'étais pas prêt à prendre la présidence du conseil d'administration de la société, mais les dirigeants m'ont fait savoir qu'il s'agissait d'une mission provisoire, en attendant l'arrivée d'éventuels investisseurs", a précisé Bouhraoua.
Seulement, les choses n'ont pas marché comme prévu, puisque les investisseurs en question se font toujours désirer, et toutes les tentatives des responsables mouloudéens pour s'offrir un repreneur de taille, "ont été vouées à l'échec", a reconnu le président du CA.
«On a engagé des pourparlers avec l'actuel président de l'USM Alger, Ali Haddad, au tout début de la création de la société, mais ce dernier à renoncé à investir au Mouloudia au dernier moment", a t-il rappelé, ajoutant que le "même scénario s'est reproduit avec deux autres investisseurs".
Une société algéro-italienne pour le salut
Le conférencier espère, néanmoins, que les démarches entamées par une société algéro-italienne, pour racheter 67% des actions de la société, "ne connaissent pas le même sort".
«C'est Sid Ali Aouf, membre du CA, qui est en charge de ce dossier. Il m'a annoncé que la concrétisation de l'accord devrait avoir lieu dans les prochains jours. J'espère qu'il n y aurait aucun inconvénient pour conclure la transaction, d'autant que nous plaçons tous nos espoirs sur cette entreprise pour sauver le club", a-t-il souhaité.
Le premier responsable du CA du Doyen a promis, en outre, de remettre sa démission dès que l'entreprise algéro-italienne en question prenne en main le club, tout en assurant, au passage, de régler l'affaire "des chèques sans provision" que détiennent des créanciers du club "dans les plus brefs délais". A l'issue de la 7e journée du championnat, le MCA occupe la 13e place, avec seulement 6 points, pour une victoire, trois nuls et trois défaites.
«La situation est devenue alarmante depuis quelques temps, d'autant que nous nous retrouvons avec un seul sponsor mais, en dépit de ces difficultés financières, nous ne sommes pas au point de déclarer faillite, du moins pas dans un avenir proche, d'autant que la loi nous donne un délai de deux exercices, soit jusqu'au décembre 2012, pour équilibrer la situation", a dit Bouhraoua lors d'un point de presse animé au siège du club à Chéraga (Alger).
Le président de la SPA a indiqué aussi que "le fait de ne pas disposer d'un stade d'où l'on pourra tirer des bénéfices provenant des recettes des matches et de la publicité, nous porte davantage préjudice".
Lors de l'été 2010, la direction du MCA a créé la société sportive et commerciale du club, avec à sa tête Abdelkader Bouhraoua, ancien dirigeant du club, pour répondre aux exigences du passage du football algérien au professionnalisme. «Dès le départ, je n'étais pas prêt à prendre la présidence du conseil d'administration de la société, mais les dirigeants m'ont fait savoir qu'il s'agissait d'une mission provisoire, en attendant l'arrivée d'éventuels investisseurs", a précisé Bouhraoua.
Seulement, les choses n'ont pas marché comme prévu, puisque les investisseurs en question se font toujours désirer, et toutes les tentatives des responsables mouloudéens pour s'offrir un repreneur de taille, "ont été vouées à l'échec", a reconnu le président du CA.
«On a engagé des pourparlers avec l'actuel président de l'USM Alger, Ali Haddad, au tout début de la création de la société, mais ce dernier à renoncé à investir au Mouloudia au dernier moment", a t-il rappelé, ajoutant que le "même scénario s'est reproduit avec deux autres investisseurs".
Une société algéro-italienne pour le salut
Le conférencier espère, néanmoins, que les démarches entamées par une société algéro-italienne, pour racheter 67% des actions de la société, "ne connaissent pas le même sort".
«C'est Sid Ali Aouf, membre du CA, qui est en charge de ce dossier. Il m'a annoncé que la concrétisation de l'accord devrait avoir lieu dans les prochains jours. J'espère qu'il n y aurait aucun inconvénient pour conclure la transaction, d'autant que nous plaçons tous nos espoirs sur cette entreprise pour sauver le club", a-t-il souhaité.
Le premier responsable du CA du Doyen a promis, en outre, de remettre sa démission dès que l'entreprise algéro-italienne en question prenne en main le club, tout en assurant, au passage, de régler l'affaire "des chèques sans provision" que détiennent des créanciers du club "dans les plus brefs délais". A l'issue de la 7e journée du championnat, le MCA occupe la 13e place, avec seulement 6 points, pour une victoire, trois nuls et trois défaites.
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Posté Le : 02/11/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com