Le Maroc n'a pas retiré son armée de Guerguerat

Le Maroc "n'a pas retiré ses forces de la zone de Guerguerat", affirme L'ambassadeur de la République arabe sahrouie démocratique (RASD) à Alger, Bouchraya Hamoudi Bayoune, qualifiant l'annonce faite par Rabat de "man?uvre visant à tromper l'opinion publique internationale".Le Maroc "n'a pas retiré ses forces de la zone de Guerguerat", affirme L'ambassadeur de la République arabe sahrouie démocratique (RASD) à Alger, Bouchraya Hamoudi Bayoune, qualifiant l'annonce faite par Rabat de "man?uvre visant à tromper l'opinion publique internationale".S'exprimant durant l'émission l'Invité de la matinale de la chaîne 1, ce diplomate a indiqué que les forces marocaines n'ont retiré que leurs équipements, alors qu'elles demeurent présentes tout le long du mur de défense construit par elles. Appelant le secrétaire général de l'Onu à agir, Bouchraya Hamoudi insiste sur un règlement global de la question sahraouie. "Le désamorçage de la crise de Guerguerat, déclare-t-il, est lié à l'arrêt de toutes les violations commises depuis 40 ans par les forces marocaines". Il rappelle les exactions et "le déni du droit à l'encontre du peuple sahraoui à disposer de lui-même par le refus du Maroc d'accepter l'organisation d'un référendum d'autodétermination, le renvoi de la mission de la Minurso, la dilapidation des richesses sahraouies". Il souligne, d'autre part, que c'est "le long silence observé par la communauté internationale qui ont amené les Sahraouis à réactiver leurs forces armées dans la région".S'exprimant durant l'émission l'Invité de la matinale de la chaîne 1, ce diplomate a indiqué que les forces marocaines n'ont retiré que leurs équipements, alors qu'elles demeurent présentes tout le long du mur de défense construit par elles. Appelant le secrétaire général de l'Onu à agir, Bouchraya Hamoudi insiste sur un règlement global de la question sahraouie. "Le désamorçage de la crise de Guerguerat, déclare-t-il, est lié à l'arrêt de toutes les violations commises depuis 40 ans par les forces marocaines". Il rappelle les exactions et "le déni du droit à l'encontre du peuple sahraoui à disposer de lui-même par le refus du Maroc d'accepter l'organisation d'un référendum d'autodétermination, le renvoi de la mission de la Minurso, la dilapidation des richesses sahraouies". Il souligne, d'autre part, que c'est "le long silence observé par la communauté internationale qui ont amené les Sahraouis à réactiver leurs forces armées dans la région".