Algérie

Le Makhzen recrute des mercenaires français et américains pour attaquer l'Algérie



Le Makhzen recrute des mercenaires français et américains pour attaquer l'Algérie
Le lobbying marocain anti-algérien a de beaux jours devant lui. Selon un compte Twitter de »Chris coleman », qui vient de révéler des informations sur les activités du Makhzen, rendues publiques dans des documents confidentiels de Wikileaks sur des journalistes recrutés pour mener une campagne contre l'Algérie, rapporte le site algeriepatriotique. Ces révélations, selon la même source, concernent les activités et le financement du lobby pro-marocain aux Etats-Unis et en France, et les rapports secrets entre les services de renseignement marocains et le Mossad.Des journalistes américains et français sont cités ; les documents révélés par «Chris Coleman» mettent en cause les journalistes Richard Miniter et Joseph Braud qui, essayaient de transmettre à l'opinion publique américaine l'idée que le Front Polisario avait des connexions avec le «terrorisme djihadiste soutenu par l'Algérie», ajoute la même source.Ces deux journalistes qui sont recrutés en tant qu'«analystes» par Ahmed Charaï, directeur du site l'observateur.ma, pour travailler avec les services secrets du Makhzen, font tout pour calomnier l'Algérie. Selon «Chris Coleman», les services de Richard Miniter ont été payés 60 000 dollars. Cela sans compter les nombreuses invitations à faire des voyages de luxe au Maroc. Idem pour Joseph Braud qui a également publié des articles diffamatoires à l'encontre du peuple sahraoui et de l'Algérie, ajoute algeriepatriotique.Leur recruteur, Ahmed Charaï, un valet du Makhzen, avait été condamné en 2011 par la justice américaine pour fausse déclaration douanière, selon le site algeriepatriotique. le 14 septembre 2011 à son arrivée à l'aéroport international de Dulles (Washington DC), il avait déclaré 10 000 dollars en argent liquide. Après contrôle, il s'est avéré qu'il avait sur lui cinq fois plus, curieusement dans des «enveloppes» fermées et libellées, ajoute la même source.Selon sa déclaration devant le juge, Ahmed Charaï était en possession de 15 000 dollars non déclarés. L'argent était destiné au paiement des lobbyistes pro-marocains, a attesté «Chris Coleman». Bien qu'il ait avoué sa culpabilité devant le juge, Ahmed Charaï a pu être libéré grâce à John J. Hamre, président du Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS), une entité de lobbyistes pro-marocains dans laquelle est membre Henry Kissinger, architecte en chef de la livraison du Sahara Occidental au Maroc.




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