Le lobbying juif

Vivier - De nombreux cadres sortiront de ces foyers du savoir puis investiront tous les secteurs d'activité, entre autres, les banques, le commerce, l'enseignement, la presse et, bien sûr, la politique.On parle souvent du puissant lobby juif aux Etats-Unis mais on oublie souvent comment il a été constitué. Le travail de fourmis des sionistes pour préparer le terrain à une prise de pouvoir planétaire, selon leurs protocoles, a commencé très tôt au pays de l'Oncle Sam. En 1880, on comptait déjà quelque 20 000 juifs répartis à travers les grandes métropoles du territoire américain.
Parmi eux, des intellectuels créeront une filière de langue hébraïque dans les universités fraîchement ouvertes aux étudiants. De nombreux cadres sortiront de ces foyers du savoir puis investiront tous les secteurs d'activité, entre autres, les banques, le commerce, l'enseignement, la presse et bien sûr la politique. Les générations qui leur succéderont suivront tout naturellement le pas de leurs aînés avec une seule et même consigne : occuper les lieux, au point d'ailleurs que la plupart des postes stratégiques ou presque sont occupés par des juifs ou des sympathisants juifs dans ce pays.
Un secrétaire d'Etat, l'équivalent de ministre des Affaires étrangères, a été puisé dans le vivier israélite, à commencer par Henry Kissinger pendant la présidence de Nixon. Une autre Israélite héritera, quelques années plus tard, du même poste. Il est vrai qu'elle ne connaissait rien de son pays d'origine, la Pologne, et pour cause, elle est née aux Etats-Unis et a fait ses études en Suisse.
Et pour que les juifs soient solidement soudés entre eux, la diaspora juive américaine fait systématiquement appel, en cas de nécessité, aux juifs de l'étranger. Bernard Henri Levy, par exemple, abreuve, depuis Paris, le New York Times en informations et en éditoriaux. Le philosophe Derrida, aujourd'hui décédé, a longtemps enseigné dans les universités américaines. Il n'est pas jusqu'au congrès, l'instance suprême des Etats-Unis qui ne soit pas aux ordres de Tel-Aviv. C'est pourquoi Israël a toujours eu son soutien, en toutes circonstances. Son comportement de voyou qui vit en marge de la légalité internationale n'a d'autre explication que le parti pris des représentants américains.