Algérie

Le leader sans de nombreux cadres


L’agressivité des joueurs du SC Simba a été payée cash par l’ESS qui perd deux attaquants. Ainsi, Yousef Sofiane sera   indisponible pour au moins 3 à 4 semaines, car l’échographie effectuée au lendemain du fameux match a montré une déchirure de 6 mm au niveau de l’adducteur droit. La  lésion de stade I nécessite ainsi une longue période de repos. Souffrant d’un traumatisme crânien, suite à son télescopage avec le gardien tanzanien Kaseja, Aoudia sera l’autre grand absent ce soir. L’absence de l’un des meilleurs buteurs de la Ligue I ne passera pas inaperçue. Notons que l’ex-joueur du Zamalek a été soumis hier à d’autres examens neurologiques complets et approfondis. Suspendu pour deux rencontres, Benchadi ne sera pas lui aussi de la partie. Avec les forfaits des joueurs précités, le coach ententiste n’aura pas la tâche facile pour composer un onze en mesure de prendre le dessus sur le CRB, au repos ces derniers temps. N’ayant, pour diverses raisons, pas pris part au dernier match de Coupe de la CAF, les Djabou, Karaoui et Bengorine se trouvent à la disposition de leur coach. Dans le but d’atténuer les effets de la crise financière à l’origine du dernier mouvement des joueurs, la wilaya a promis de verser pas moins de 45 millions de dinars au titre de la subvention de l’année 2012. Pour permettre à la SSPA de jouer pleinement son rôle et mettre un terme aux récurrentes crises financières et à une non-gestion ne disant pas son nom, l’ouverture de son capital est sérieusement envisagée par des  membres du conseil d’administration (CA) qui voudraient convaincre des industriels et entrepreneurs de la région pour l’acquisition des parts pour un montant de 5 à 10 millions de dinars. Selon une source digne de foi, cette ouverture partielle vise à toucher entre 10 et 20 opérateurs économiques devant  élire un autre CA. Celui-ci aura la lourde tâche de structurer le club et de trouver d’autres sources de financement d’autant plus l’Entente ne peut éternellement vivre de l’assistanat. Par ailleurs, la durée de la location de l’hôtel de France fixée initialement à 12 années est contestée par certains actionnaires, lesquels souhaitent une location de 30 ans. Avec un tel bail, l’exploitation d’une telle infrastructure ne peut être que rentable pour l’Aigle noir qui doit au préalable bien négocier les virages du CRB et du MCO, importants baromètres pour la démentielle suite des événements. 
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