Algérie

Le juge et l’assassin



Le juge et l’assassin
Azul Felawen,
Réflexion
Le juge et l’assassin

Deux êtres accablés par l’ivresse de leur conscience,
A croire qu’ils recherchent la faiblesse de leur ignorance,

L’assassin occulte la raison, comme un être blâmé et effaré,
Pour ne pas devenir tel un argument, indécis complètement égaré,

La victime de la société dans laquelle il sera un émergé évadé,
Blâmes il cultive l’audace il accuse la morale de l’avoir erronée,

Le juge fait de la conscience, une lumière, il croit éclairer l’horizon,
Il pense avoir le pouvoir d’illuminer le crépuscule au-delà de la raison,

Il prêche la morale en argumentent par des arcs avec un nuancier d’émotions,
Rien ne va tout s’en va, rien ne reste que ce nom humain atteint par la corrosion,

La société humaine est un mythe sans visage, qui excite les manoirs de toutes les religions,
Laquelle abrégée par les vampires politiciens, à la recherche de jouissances et de sensation.

Mokrane Aït-Lounes



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