Algérie

Le journaliste Mohamed Larbi d'el watan nous quitte



Le journaliste et membre fondateur du quotidien El Watan,Mohamed Larbi a rejoint ce matin son créateur, terrassé, comme de nombreux confrères, par une crise cardiaque.Le journaliste et membre fondateur du quotidien El Watan,Mohamed Larbi a rejoint ce matin son créateur, terrassé, comme de nombreux confrères, par une crise cardiaque.
La triste nouvelle s'est répandue comme une traînéede poudre et le défunt Mohamed n'aura même paseu e loisir de jouir enfin d'uneretraite bien méritée aprèsplus de 40 ans de service dansce métier à haut risque.Mohamed Larbi, plus connupar son pseudonyme de - T.Hocine - durant la décennienoire, est l'un des spécialistesdes question internationales.Il aura géré le service "Inter" d'El Watan depuis sa création en 1990 jusqu'à 2011 pour se consacrer ensuite à l'analyse avec ses nombreux éditoriaux sur les dynamiques géopolitiquesqui agitent notre région. Mohamed Larbi etait surtoutun fervent soutien au peuplesqui luttent pour leur autodétermination à l'image de la cause palestinienne et celle du Sahara occidental pour lesquelles il aura consacré de nombreuxs de textes.
Mohamed Larbi était un fin connaisseur des dossiers. C'est une mémoire vivante de toutes les questions internationales qu'il a suivies depuis les années 70 et 80 au sein du journal El Moudjahid où il avait fait ses armes avant de se lancer dans "l'aventure intellectuelle" en 1990 en créant avec ses amis et collègues le quotidien El Watan. Homme attachant, il n'hésitait pas à aider les jeunes journalistes à mieux traiter un sujet en leur livrant des précisions ou des anecdotes glanées tout au long de sa riche carrière. C'est une perte énorme pas seulement pour El Watan mais aussi pour toute la presse nationale.l L'enterrement a au lieu hier au cimetière d'El Kattar après la prière d'El Aâsr, a-t-on appris auprès de sa famille. En ces douloureuses circonstances Midi Libre s'associe à la douleur de sa famille et exprime son soutien à sa famille, ses deux enfantsRachid et Tarik ainsi qu'à sescollègues d'El atan.
La triste nouvelle s'est répandue comme une traînéede poudre et le défunt Mohamed n'aura même paseu e loisir de jouir enfin d'uneretraite bien méritée aprèsplus de 40 ans de service dansce métier à haut risque.Mohamed Larbi, plus connupar son pseudonyme de - T.Hocine - durant la décennienoire, est l'un des spécialistesdes question internationales.Il aura géré le service "Inter" d'El Watan depuis sa création en 1990 jusqu'à 2011 pour se consacrer ensuite à l'analyse avec ses nombreux éditoriaux sur les dynamiques géopolitiquesqui agitent notre région. Mohamed Larbi etait surtoutun fervent soutien au peuplesqui luttent pour leur autodétermination à l'image de la cause palestinienne et celle du Sahara occidental pour lesquelles il aura consacré de nombreuxs de textes.
Mohamed Larbi était un fin connaisseur des dossiers. C'est une mémoire vivante de toutes les questions internationales qu'il a suivies depuis les années 70 et 80 au sein du journal El Moudjahid où il avait fait ses armes avant de se lancer dans "l'aventure intellectuelle" en 1990 en créant avec ses amis et collègues le quotidien El Watan. Homme attachant, il n'hésitait pas à aider les jeunes journalistes à mieux traiter un sujet en leur livrant des précisions ou des anecdotes glanées tout au long de sa riche carrière. C'est une perte énorme pas seulement pour El Watan mais aussi pour toute la presse nationale.l L'enterrement a au lieu hier au cimetière d'El Kattar après la prière d'El Aâsr, a-t-on appris auprès de sa famille. En ces douloureuses circonstances Midi Libre s'associe à la douleur de sa famille et exprime son soutien à sa famille, ses deux enfantsRachid et Tarik ainsi qu'à sescollègues d'El atan.


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