Algérie

Le Hirak maintient ses revendications



Le vendredi d'hier a été similaire à tous les vendredis, depuis le 22 février. Des Algériens sont en effet sortis manifester à Alger, la capitale, et dans de nombreuses autres villes du pays. Les manifestants, et comme depuis de très longues semaines déjà, ont réitéré leurs principales revendications.Le vendredi d'hier a été similaire à tous les vendredis, depuis le 22 février. Des Algériens sont en effet sortis manifester à Alger, la capitale, et dans de nombreuses autres villes du pays. Les manifestants, et comme depuis de très longues semaines déjà, ont réitéré leurs principales revendications.
Ces dernières portent principalement, sur la nécessité d'une rupture radicale avec le système. Les élections présidentielles, prévues le 12 décembre prochain, ont de nouveau été rejetées par les manifestants qui considèrent qu'elles ne répondent pas à leurs aspirations formulées depuis le début du mouvement populaire, le 22 février dernier. A ce titre, des candidats à ce scrutin ont été décriés par les manifestants. Ces derniers ont aussi, comme cela a été le cas les semaines précédentes, clamé le départ des symboles des figures de l'ancien régime, incarné par le président démissionnaire, Bouteflika. A Alger, les manifestants, très nombreux, ont convergé vers la Grande Poste et la Place Audin, qui étaient noires de monde, au milieu de l'après-midi.
La libération des détenus a figuré, une fois de plus, parmi les plus importantes revendications des manifestants. Les manifestants ont ainsi déployé une immense banderole, portant les photos des détenus du Hirak. Lors de cette manifestation, des journalistes ont, pour la première fois, manifesté avec la foule, pour réclamer une presse libre. Notons qu'hier, àAlger et dans d'autres villes du pays, c'est sous une pluie abondante, que des Algériens ont manifesté. A Oran, un grand rassemblement a été tenu, à la fin de la manifestation, devant le siège de la wilaya. Les manifestants ont scandé divers slogans : "Non aux élections du 12 décembre", "contre les emprisonnements de militants pacifiques" et "pour l'instauration d'une République démocratique et le respect d'un Etat de droit et des libertés garanties par la Constitution". Cela a d'ailleurs été le cas, un peu partout sur l'ensemble du pays.
Ces dernières portent principalement, sur la nécessité d'une rupture radicale avec le système. Les élections présidentielles, prévues le 12 décembre prochain, ont de nouveau été rejetées par les manifestants qui considèrent qu'elles ne répondent pas à leurs aspirations formulées depuis le début du mouvement populaire, le 22 février dernier. A ce titre, des candidats à ce scrutin ont été décriés par les manifestants. Ces derniers ont aussi, comme cela a été le cas les semaines précédentes, clamé le départ des symboles des figures de l'ancien régime, incarné par le président démissionnaire, Bouteflika. A Alger, les manifestants, très nombreux, ont convergé vers la Grande Poste et la Place Audin, qui étaient noires de monde, au milieu de l'après-midi.
La libération des détenus a figuré, une fois de plus, parmi les plus importantes revendications des manifestants. Les manifestants ont ainsi déployé une immense banderole, portant les photos des détenus du Hirak. Lors de cette manifestation, des journalistes ont, pour la première fois, manifesté avec la foule, pour réclamer une presse libre. Notons qu'hier, àAlger et dans d'autres villes du pays, c'est sous une pluie abondante, que des Algériens ont manifesté. A Oran, un grand rassemblement a été tenu, à la fin de la manifestation, devant le siège de la wilaya. Les manifestants ont scandé divers slogans : "Non aux élections du 12 décembre", "contre les emprisonnements de militants pacifiques" et "pour l'instauration d'une République démocratique et le respect d'un Etat de droit et des libertés garanties par la Constitution". Cela a d'ailleurs été le cas, un peu partout sur l'ensemble du pays.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)