Algérie

Le Hirak fidele à ses revendications



Le mouvement populaire ne donne aucun signe d'essoufflement. Hier vendredi, des Algériens sont de nouveau sortis manifester comme ils le font depuis le 22 février dernier.Le mouvement populaire ne donne aucun signe d'essoufflement. Hier vendredi, des Algériens sont de nouveau sortis manifester comme ils le font depuis le 22 février dernier.
Cela fait donc dix mois, que les manifestants battent le pavé avec la même détermination. Les marches d'hier, à Alger et dans d'autres villes du pays, ont été similaires à celles qui les ont précédés depuis le mois de février. Les manifestants ont en effet mis en avant leurs revendications principales, portant notamment sur la nécessité du changement radical et le départ de tous les symboles de l'ancien système. Ils ont scandé des slogans contre la tenue de l'élection présidentielle du 12 décembre prochain. Ce scrutin a été rejeté par les manifestants qui ont juré de ne pas aller voter le 12 décembre. "Makanach ntikhabat maa el Issabat", slogan fétiche des manifestants, a été retenti partout. Pour eux, cette élection est loin de répondre aux aspirations du changement revendiquées par les Algériens.
A ce titre, les cinq candidats à ce scrutin ont été décriés par les manifestants. Les manifestants ont aussi mis en avant, la nécessité de libérer tous les détenus du Hirak. A Alger, les manifestants ont brandi une longue banderole avec les portraits des détenus du Hirak. Les manifestants ont aussi rendu hommage à Karim Tabou, et ce en présence de la femme de ce dernier et ses enfants. A Alger toujours, il a été observé une forte présence policière. L'on a noté aussi des pancartes qui rejetaient l'ingérence étrangère, et cela fait suite à la résolution du Parlement européen. A Oran, il y'avait aussi une grande mobilisation populaire. Un rassemblement a été organisé devant le siège de la wilaya. "Ahia Zabana, silmiya silmiya, anjibou el houria li yessra issir (Oh Zabana, nous somme mobilisés pacifiquement pour que l'Algérie soit indépendante advienne que pourra)" a candé la foule qui s'est dit très déterminée à poursuivre le combat pacifique pour la démocratie. C'était les mêmes images un peu partout sur l'ensemble du pays. De Tizi-Ouzou, Bejaia, Annaba, Constantine, El Oued, Bechar, Chlef ou Biskra, c'était la même détermination
Cela fait donc dix mois, que les manifestants battent le pavé avec la même détermination. Les marches d'hier, à Alger et dans d'autres villes du pays, ont été similaires à celles qui les ont précédés depuis le mois de février. Les manifestants ont en effet mis en avant leurs revendications principales, portant notamment sur la nécessité du changement radical et le départ de tous les symboles de l'ancien système. Ils ont scandé des slogans contre la tenue de l'élection présidentielle du 12 décembre prochain. Ce scrutin a été rejeté par les manifestants qui ont juré de ne pas aller voter le 12 décembre. "Makanach ntikhabat maa el Issabat", slogan fétiche des manifestants, a été retenti partout. Pour eux, cette élection est loin de répondre aux aspirations du changement revendiquées par les Algériens.
A ce titre, les cinq candidats à ce scrutin ont été décriés par les manifestants. Les manifestants ont aussi mis en avant, la nécessité de libérer tous les détenus du Hirak. A Alger, les manifestants ont brandi une longue banderole avec les portraits des détenus du Hirak. Les manifestants ont aussi rendu hommage à Karim Tabou, et ce en présence de la femme de ce dernier et ses enfants. A Alger toujours, il a été observé une forte présence policière. L'on a noté aussi des pancartes qui rejetaient l'ingérence étrangère, et cela fait suite à la résolution du Parlement européen. A Oran, il y'avait aussi une grande mobilisation populaire. Un rassemblement a été organisé devant le siège de la wilaya. "Ahia Zabana, silmiya silmiya, anjibou el houria li yessra issir (Oh Zabana, nous somme mobilisés pacifiquement pour que l'Algérie soit indépendante advienne que pourra)" a candé la foule qui s'est dit très déterminée à poursuivre le combat pacifique pour la démocratie. C'était les mêmes images un peu partout sur l'ensemble du pays. De Tizi-Ouzou, Bejaia, Annaba, Constantine, El Oued, Bechar, Chlef ou Biskra, c'était la même détermination


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