Algérie

Le Hirak estudiantin se poursuit



Cette "rentrée du Hirak estudiantin" verra une remobilisation dans les semaines qui viennent, affirment certains étudiants qui ont marché hier mardi à Alger, pour la 28e fois de suite .Cette "rentrée du Hirak estudiantin" verra une remobilisation dans les semaines qui viennent, affirment certains étudiants qui ont marché hier mardi à Alger, pour la 28e fois de suite .
En attendant cette remobilisation, les présents à la marche d'hier ont, de nouveau, exprimé de vive voix, leur volonté de changement radical du système et le départ de tous les symboles du régime de l'ancien président, Abdelaziz Bouteflika. Des etudiants ont réfuté les élections présidentielles, en scandant "Makach Intikhabat Ya El-Issabates".
Aussitôt que le début de la manifestation a été donné depuis la Place des Martyrs, un étudiant, micro à la main, rappelle les fondamentaux d'une élection juste et indépendante:"Nous voulons une personnalité populaire, en qui la majorité a confiance, pour l'instauration d'un gouvernement consensuel". Il appelle également l'armée à accomplir sa mission, celle de protéger la population. D'autres revendications étaient à l'ordre du jour, ce 28e mardi de marche des étudiants. Le départ du gouvernement Bedoui et Bensalah revient à la charge.
On rappelle également l'illégitimité du Panel de Karim Younes, et on maintient la promesse, "Aucun dialogue avec les gangs". Comme chaque mardi, les citoyens étaient nombreux à la manifestation des étudiants. Ils les accompagnent dans leur marche, depuis la fin des cours au mois de juin. Ce mardi, les étudiants ont changé d'itinéraire. Ils ont réussi à dépasser le cordon des policiers qui bloquaient l'accès à la rue Abane Ramdane. Ils ont poursuivi la marche jusqu'au Parlement, qu'ils ont encerclé. Sur place, ils ont réitéré leur engagement contre l'organisation des élections présidentielles, en s'en prenant avec force aux partis du FLN et du RND. .
Les étudiants et les citoyens ont poursuivi leur marche vers la Place Maurice Audin, en passant par la rue du Colonel Amirouche, avant de se diriger vers la rue Didouche Mourad. Les étudiants ont terminé leur marche et ont achevé leur manifestation, à 13h30, en entonnant l'Hymne national.
En attendant cette remobilisation, les présents à la marche d'hier ont, de nouveau, exprimé de vive voix, leur volonté de changement radical du système et le départ de tous les symboles du régime de l'ancien président, Abdelaziz Bouteflika. Des etudiants ont réfuté les élections présidentielles, en scandant "Makach Intikhabat Ya El-Issabates".
Aussitôt que le début de la manifestation a été donné depuis la Place des Martyrs, un étudiant, micro à la main, rappelle les fondamentaux d'une élection juste et indépendante:"Nous voulons une personnalité populaire, en qui la majorité a confiance, pour l'instauration d'un gouvernement consensuel". Il appelle également l'armée à accomplir sa mission, celle de protéger la population. D'autres revendications étaient à l'ordre du jour, ce 28e mardi de marche des étudiants. Le départ du gouvernement Bedoui et Bensalah revient à la charge.
On rappelle également l'illégitimité du Panel de Karim Younes, et on maintient la promesse, "Aucun dialogue avec les gangs". Comme chaque mardi, les citoyens étaient nombreux à la manifestation des étudiants. Ils les accompagnent dans leur marche, depuis la fin des cours au mois de juin. Ce mardi, les étudiants ont changé d'itinéraire. Ils ont réussi à dépasser le cordon des policiers qui bloquaient l'accès à la rue Abane Ramdane. Ils ont poursuivi la marche jusqu'au Parlement, qu'ils ont encerclé. Sur place, ils ont réitéré leur engagement contre l'organisation des élections présidentielles, en s'en prenant avec force aux partis du FLN et du RND. .
Les étudiants et les citoyens ont poursuivi leur marche vers la Place Maurice Audin, en passant par la rue du Colonel Amirouche, avant de se diriger vers la rue Didouche Mourad. Les étudiants ont terminé leur marche et ont achevé leur manifestation, à 13h30, en entonnant l'Hymne national.


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