Le Groupe des forces spéciales dans le collimateur des djihadistes

L 'intensité "des opérations se maintient depuis quatre ans, mais celles-ci sont de plus en plus mortelles depuis au moins deux ans", explique ce colonel du Groupe des forces spéciales de l'armée tunisienne (GFS). Le samedi, un membre du GFS a été tué par un engin explosif déposé par des terroristes.L 'intensité "des opérations se maintient depuis quatre ans, mais celles-ci sont de plus en plus mortelles depuis au moins deux ans", explique ce colonel du Groupe des forces spéciales de l'armée tunisienne (GFS). Le samedi, un membre du GFS a été tué par un engin explosif déposé par des terroristes.Douze militaires sont morts en quatre ans dans des opérations menées contre des groupes djihadistes. Devant les photos de ces militaires tués au combat, le colonel dit que "ce sont des martyrs morts pour une cause : la défense de la patrie. Ils ne réduiront pas notre peuple au silence".Les militaires du GFS forment l'élite des commandos de l'armée de Terre tunisienne. Lors de la Révolution de jasmin en 2011, ils ont rejoint la population qui manifestait contre le régime du président Ben Ali. Aujourd'hui, les groupes islamistes en ont fait une de leurs cibles. Entre deux entraînements, le colonel affirme que la Tunisie "a un peuple dont l'éducation est extraordinaire et qui a assumé la transition démocratique en respectant au maximum toutes les règles électorales". Il estime que "ça fait énormément d'envieux, mais ils ne réduiront pas notre peuple au silence".Douze militaires sont morts en quatre ans dans des opérations menées contre des groupes djihadistes. Devant les photos de ces militaires tués au combat, le colonel dit que "ce sont des martyrs morts pour une cause : la défense de la patrie. Ils ne réduiront pas notre peuple au silence".Les militaires du GFS forment l'élite des commandos de l'armée de Terre tunisienne. Lors de la Révolution de jasmin en 2011, ils ont rejoint la population qui manifestait contre le régime du président Ben Ali. Aujourd'hui, les groupes islamistes en ont fait une de leurs cibles. Entre deux entraînements, le colonel affirme que la Tunisie "a un peuple dont l'éducation est extraordinaire et qui a assumé la transition démocratique en respectant au maximum toutes les règles électorales". Il estime que "ça fait énormément d'envieux, mais ils ne réduiront pas notre peuple au silence".