Algérie

Le gouvernement sur la défensive



Face la pression exercée par les syndicats notamment concernant plusieurs dossiers chauds, le gouvernement fait le dos rond, voire même persiste dans une attitude négatives. En ce sens les revendications ne sont pas satisfaits, loin s'en faut.Face la pression exercée par les syndicats notamment concernant plusieurs dossiers chauds, le gouvernement fait le dos rond, voire même persiste dans une attitude négatives. En ce sens les revendications ne sont pas satisfaits, loin s'en faut.
C'est le cas quand il s'agit du lourd dossier de la retraite sans cesse remis sur la table des négociations par les syndicats. Ces derniers, que ce soit l'UGTA ou les syndicats autonomes, semblent s'être donnés le mot pour présente la même doléance à ce propos. La retraite anticipée, puisque c'est decette question qu'il s'agit, est devenu pur les organisations syndicales un important dossier en vue de faire pression sur l'exécutif. Mais le Palais du docteur Saadane ne répond pas, en tout cas pas l'auraient souhaité les Syndicats. Le gouvernement défend une position immuable puisque sa ligne de conduite s'articule principalement sur le point nodal celui des finances pour justifier son refus catégorique de répondre favorablement aux demandes des syndicats. En ce sens que le finances du pays ne permettraient pas d'accéder cette demande. Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, El Hachemi Djaaboub, s'est évertue depuis son retour au gouvernement à expliqué l'impossibilité de dire oui à cette doléance.A maintes reprises il est monté au créneau ces derniers mois pour maintenir le cap quant la position du gouvernement. Un exercice qu'il a du refaire avant-hier samedi, soit le jour même ou les travailleurs fêtaient la journée internationale du travail. Djaaboub a en effet une fois encore dit que l'exécutif ne peut satisfaire cette demande. Dans un entretien accordé à un quotidien national Djaaboub a réitéré les mêmes arguments pour réfutez la revendication des syndicats.
Et notamment l'argument massue, celui relatif aux inextricables problèmes financiers dans lequel se débat la caisse nationale de retraire (CNR) qui souffre d' 'un énorme déficits. Selon le ministre de l'Emploi la CNR ne peut se permettre de rajouter, à son déficit déjà colossal, des chargés financiers de l ordre de 540 milliards de dinars supplémentaires. Or, selon le ministre le déficit est déjà a hauteur de 590 milliards de dinars entièrement couvert par l état à travers le fonds national d'investissement, lui-même financé par le trésor public. Les prévisions du ministre portent sur 1 million de travailleurs qui seront concernés si l état accepte de redevenir à la retraite anticipée. En somme le gouvernement craint le rush de demande de départ la retraite. Cette explication va ?t-elle pour autant mettre fin aux espoirs des syndicat eux-mêmes confrontés à la pression des travailleurs dont une bonne partie souhaiterait partir à la retraite avant l'âge légal. Le gouvernement n'a pas cependant les moyens financiers pur dire ou cette demande, désormais revendiquer même par l'UGTA ; Mais il est évident que les organiserions syndicales ne vont pas s'arrêter de réclamer cette question, loin de là.
C'est le cas quand il s'agit du lourd dossier de la retraite sans cesse remis sur la table des négociations par les syndicats. Ces derniers, que ce soit l'UGTA ou les syndicats autonomes, semblent s'être donnés le mot pour présente la même doléance à ce propos. La retraite anticipée, puisque c'est decette question qu'il s'agit, est devenu pur les organisations syndicales un important dossier en vue de faire pression sur l'exécutif. Mais le Palais du docteur Saadane ne répond pas, en tout cas pas l'auraient souhaité les Syndicats. Le gouvernement défend une position immuable puisque sa ligne de conduite s'articule principalement sur le point nodal celui des finances pour justifier son refus catégorique de répondre favorablement aux demandes des syndicats. En ce sens que le finances du pays ne permettraient pas d'accéder cette demande. Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, El Hachemi Djaaboub, s'est évertue depuis son retour au gouvernement à expliqué l'impossibilité de dire oui à cette doléance.A maintes reprises il est monté au créneau ces derniers mois pour maintenir le cap quant la position du gouvernement. Un exercice qu'il a du refaire avant-hier samedi, soit le jour même ou les travailleurs fêtaient la journée internationale du travail. Djaaboub a en effet une fois encore dit que l'exécutif ne peut satisfaire cette demande. Dans un entretien accordé à un quotidien national Djaaboub a réitéré les mêmes arguments pour réfutez la revendication des syndicats.
Et notamment l'argument massue, celui relatif aux inextricables problèmes financiers dans lequel se débat la caisse nationale de retraire (CNR) qui souffre d' 'un énorme déficits. Selon le ministre de l'Emploi la CNR ne peut se permettre de rajouter, à son déficit déjà colossal, des chargés financiers de l ordre de 540 milliards de dinars supplémentaires. Or, selon le ministre le déficit est déjà a hauteur de 590 milliards de dinars entièrement couvert par l état à travers le fonds national d'investissement, lui-même financé par le trésor public. Les prévisions du ministre portent sur 1 million de travailleurs qui seront concernés si l état accepte de redevenir à la retraite anticipée. En somme le gouvernement craint le rush de demande de départ la retraite. Cette explication va ?t-elle pour autant mettre fin aux espoirs des syndicat eux-mêmes confrontés à la pression des travailleurs dont une bonne partie souhaiterait partir à la retraite avant l'âge légal. Le gouvernement n'a pas cependant les moyens financiers pur dire ou cette demande, désormais revendiquer même par l'UGTA ; Mais il est évident que les organiserions syndicales ne vont pas s'arrêter de réclamer cette question, loin de là.


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