Le ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdesselam Chelghoum, a démenti une rumeur relayée depuis des semaines par les médias, faisant état de l'augmentation imminente du prix du lait pasteurisé qui passerait de 25 à 33 dinars. Le prix du sachet de lait restera inchangé, à savoir 25 dinars.Le ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdesselam Chelghoum, a démenti une rumeur relayée depuis des semaines par les médias, faisant état de l'augmentation imminente du prix du lait pasteurisé qui passerait de 25 à 33 dinars. Le prix du sachet de lait restera inchangé, à savoir 25 dinars.La déclaration est du ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdesselam Chelghoum qui a rassuré que le prix du lait pasteurisé en sachet demeurera subventionné et ne connaîtra aucune augmentation. Voilà donc qui est clair!Le ministre a coupé l'herbe sous les pieds des spéculateurs faisant état de l'augmentation du prix du lait subventionné. En revanche le prix du lait de vache qui devrait connaitre une augmentation en raison du changement de l'emballage. Le lait de vache qui est de meilleure qualité est actuellement écoulé à des prix variant entre 35 et 45 dinars. Il sera écoulé dans des briques en carton avant le mois de Ramadhan et son prix devrait inévitablement augmenter pour atteindre les 60 ou 65 dinars.Cette réaction, note-t-on, intervient alors que la polémique autour de l'éventualité du renchérissement du prix du lait passionne de plus en plus l'opinion nationale. Selon plusieurs médias dont une déclaration dans nos colonnes, en effet, les producteurs de lait envisageraient très sérieusement d'augmenter le prix du lait pasteurisé en sachet, en le remplaçant par des briques en carton à partir de mars prochain avec la perspective qu'il sera définitivement retiré du marché.Et ce, sur la base de simulations effectuées par des entreprises productrices, qui jugeraient le taux actuel non rentable pour cette activité, alors que les subventions débloquées en soutien sont estimées à environ 20 milliards de dinars/an. Les pouvoirs publics se fixaient ainsi pour objectif de garantir les subventions des produits alimentaires de base, affirmant que l'idée "n'est pas à l'ordre du jour".Le gouvernement s'est même situé aux antipodes de cette idée, à plusieurs reprises, affirmant que la subvention doit être maintenue dans la durée. Il a en effet plaidé pour "l'organisation et la mise en place des conditions de durabilité d'une telle décision», et appelé à «construire un système et à créer des conditions qui vont garantir la durabilité de la décision".Mais dans de nombreux cercles au sein de l'administration, on reconnait que la politique actuelle mène à l'impasse, car elle constitue un frein à la production, et impose la mise en place de mécanismes très complexes, difficiles à gérer, générateurs de rentes et de corruption.La déclaration est du ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdesselam Chelghoum qui a rassuré que le prix du lait pasteurisé en sachet demeurera subventionné et ne connaîtra aucune augmentation. Voilà donc qui est clair!Le ministre a coupé l'herbe sous les pieds des spéculateurs faisant état de l'augmentation du prix du lait subventionné. En revanche le prix du lait de vache qui devrait connaitre une augmentation en raison du changement de l'emballage. Le lait de vache qui est de meilleure qualité est actuellement écoulé à des prix variant entre 35 et 45 dinars. Il sera écoulé dans des briques en carton avant le mois de Ramadhan et son prix devrait inévitablement augmenter pour atteindre les 60 ou 65 dinars.Cette réaction, note-t-on, intervient alors que la polémique autour de l'éventualité du renchérissement du prix du lait passionne de plus en plus l'opinion nationale. Selon plusieurs médias dont une déclaration dans nos colonnes, en effet, les producteurs de lait envisageraient très sérieusement d'augmenter le prix du lait pasteurisé en sachet, en le remplaçant par des briques en carton à partir de mars prochain avec la perspective qu'il sera définitivement retiré du marché.Et ce, sur la base de simulations effectuées par des entreprises productrices, qui jugeraient le taux actuel non rentable pour cette activité, alors que les subventions débloquées en soutien sont estimées à environ 20 milliards de dinars/an. Les pouvoirs publics se fixaient ainsi pour objectif de garantir les subventions des produits alimentaires de base, affirmant que l'idée "n'est pas à l'ordre du jour".Le gouvernement s'est même situé aux antipodes de cette idée, à plusieurs reprises, affirmant que la subvention doit être maintenue dans la durée. Il a en effet plaidé pour "l'organisation et la mise en place des conditions de durabilité d'une telle décision», et appelé à «construire un système et à créer des conditions qui vont garantir la durabilité de la décision".Mais dans de nombreux cercles au sein de l'administration, on reconnait que la politique actuelle mène à l'impasse, car elle constitue un frein à la production, et impose la mise en place de mécanismes très complexes, difficiles à gérer, générateurs de rentes et de corruption.
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Posté Le : 12/02/2017
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : IDIR AMMOUR
Source : www.lemidi-dz.com