Algérie

Le gouvernement prône le dialogue



Le gouvernement prône le dialogue
Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali, a affirmé jeudi à Alger que la réunion de la C o m m i s s i o n interministérielle de suivi des conflits collectifs du travail vise à renforcer et à promouvoir la culture du dialogue social.Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali, a affirmé jeudi à Alger que la réunion de la C o m m i s s i o n interministérielle de suivi des conflits collectifs du travail vise à renforcer et à promouvoir la culture du dialogue social.Dans une allocution d'ouverture des travauxb de la 1re réunion de la Commission interministérielle de suivi des conflits collectifs du travail qui se sont tenus, au siège de son département ministériel, M. Zemali a indiqué que cette réunion intervenait "en application des instructions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika visant à renforcer et à promouvoir la culture du dialogue en tant que meilleure option pour le traitement des questions liées au monde du travail, et à asseoir un climat social serein et stable".Le ministre a rappelé les orientations du président Bouteflika lors du Conseil des ministres tenu mercredi, dans lesquelles il a affirmé que "les partenaires sociaux et le Gouvernement sont en devoir de faire preuve de solidarité et de coordination, pour faire avancer le processus de réformes dans un cadre de paix sociale".Il a par ailleurs souligné que l'activation de la commission interministérielle "ne signifie en aucun cas quenous rejetons le droit syndicalet le droit des travailleursà défendre leurs droits dans le cadre de la loi, d'autant queces droits sont garantis par laConstitution", affirmant que"l'action syndicale dans notrepays ne souffre d'aucuneentrave".M. Zemali a révélé que "prèsde 100 cas de conflits collectifs du travail ont été enregistrés durant le premiersemestre de l'année encours", estimant que cechiffre est "un indice édifiantde l'existence d'une activitésyndicale en Algérie".Leministre a mis en avant lanécessite "de rapprocher les points de vue et de parvenir àun consensus entre les partenairessociaux concernant lecontentieux, notammentdans les secteurs sensiblesqui touchent directement à lavie quotidienne du citoyen",en cette conjonctureéconomique particulière queconnait le pays.Il a souligné l'importance demettre en place des mécanismes à même de "faciliter lacirculation de l'informationet la saisine de la commission sur tous les cas de litiges",Il a exprimé sa volontéde relancer la mission del'inspection du travail qui nedoit pas se limiter, a-t-il dit,"au contrôle, à la répression et à l'obligation, mais s'assigner un rôle pédagogiquevisant à sensibiliser,informer et orienter", rappelant l'instruction adresséeaux inspecteurs régionaux etde wilaya pour agir dans cesens.La commission a pour missionde prévenir les conflits collectifs et de proposer desmécanismes susceptibles decontribuer à leur règlement.Des cellules de wilayasprésidées par les walis ont été créées et chargées desmêmes missions attribuées àla commission au niveaunational. Installée le 10 janvier 2017,la commission compte dixdépartements ministériels en sus de la direction générale de la Fonction publique, àsavoir, les ministères du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, de l'Intérieur, des Collectivitéslocales et de l'Aménagementdu territoire, del'Enseignement supérieur etde la Recherche scientifique, de la Formation et de l'Enseignement supérieur, dela Santé, de la Population et de la Réformes hospitalière,de la Solidarité nationale, dela Famille et de la Conditionféminine, de l'Industrie et des Mines, de l'Enegie etdes Finances.Dans une allocution d'ouverture des travauxb de la 1re réunion de la Commission interministérielle de suivi des conflits collectifs du travail qui se sont tenus, au siège de son département ministériel, M. Zemali a indiqué que cette réunion intervenait "en application des instructions du président de la République, Abdelaziz Bouteflika visant à renforcer et à promouvoir la culture du dialogue en tant que meilleure option pour le traitement des questions liées au monde du travail, et à asseoir un climat social serein et stable".Le ministre a rappelé les orientations du président Bouteflika lors du Conseil des ministres tenu mercredi, dans lesquelles il a affirmé que "les partenaires sociaux et le Gouvernement sont en devoir de faire preuve de solidarité et de coordination, pour faire avancer le processus de réformes dans un cadre de paix sociale".Il a par ailleurs souligné que l'activation de la commission interministérielle "ne signifie en aucun cas quenous rejetons le droit syndicalet le droit des travailleursà défendre leurs droits dans le cadre de la loi, d'autant queces droits sont garantis par laConstitution", affirmant que"l'action syndicale dans notrepays ne souffre d'aucuneentrave".M. Zemali a révélé que "prèsde 100 cas de conflits collectifs du travail ont été enregistrés durant le premiersemestre de l'année encours", estimant que cechiffre est "un indice édifiantde l'existence d'une activitésyndicale en Algérie".Leministre a mis en avant lanécessite "de rapprocher les points de vue et de parvenir àun consensus entre les partenairessociaux concernant lecontentieux, notammentdans les secteurs sensiblesqui touchent directement à lavie quotidienne du citoyen",en cette conjonctureéconomique particulière queconnait le pays.Il a souligné l'importance demettre en place des mécanismes à même de "faciliter lacirculation de l'informationet la saisine de la commission sur tous les cas de litiges",Il a exprimé sa volontéde relancer la mission del'inspection du travail qui nedoit pas se limiter, a-t-il dit,"au contrôle, à la répression et à l'obligation, mais s'assigner un rôle pédagogiquevisant à sensibiliser,informer et orienter", rappelant l'instruction adresséeaux inspecteurs régionaux etde wilaya pour agir dans cesens.La commission a pour missionde prévenir les conflits collectifs et de proposer desmécanismes susceptibles decontribuer à leur règlement.Des cellules de wilayasprésidées par les walis ont été créées et chargées desmêmes missions attribuées àla commission au niveaunational. Installée le 10 janvier 2017,la commission compte dixdépartements ministériels en sus de la direction générale de la Fonction publique, àsavoir, les ministères du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, de l'Intérieur, des Collectivitéslocales et de l'Aménagementdu territoire, del'Enseignement supérieur etde la Recherche scientifique, de la Formation et de l'Enseignement supérieur, dela Santé, de la Population et de la Réformes hospitalière,de la Solidarité nationale, dela Famille et de la Conditionféminine, de l'Industrie et des Mines, de l'Enegie etdes Finances.


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