Algérie

Le gouvernement dans l'embarras



Le gouvernement dans l'embarras
Le front social est en ébullition. Des manifestations contre la cherté de la vie sont organisées ça et là et cela ne fait que commencer. Car cette effervescence ira certainement crescendo à l'avenir.Le front social est en ébullition. Des manifestations contre la cherté de la vie sont organisées ça et là et cela ne fait que commencer. Car cette effervescence ira certainement crescendo à l'avenir.Ce d'autant que des syndicats commencent à demander une réévaluation des salaires pour permettre aux fonctionnaires et travailleurs de pouvoir faire face à cette nouvelle donne qui, forcément, met le gouvernement dans l'embarras.Comme attendu donc ce début d'année s'avère compliqué pour les pouvoirs publics. La flambée des prix de certains produits et services est à l'origine de cette montée de la contestation. Il faut dire que cette hausse des prix a de quoi être inquiétante pour les petites et moyennes bourses.C'est donc par les manifestations de rues que s'expriment leurs colères. Des manifestations qui ont secoué plusieurs localités et villes du pays et qui risquent de faire tache d'huile. En effet l'érosion du pouvoir d'achat des citoyens n'est pas faite pour arranger les choses. Cette flambée des prix est due, d'abord et avant tout, à l'augmentation des tarifs des carburants décidés par le gouvernement dans le cadre des dispositions de la loi de finances de 2016.Depuis le 1er janvier dernier l'augmentation des prix des carburants a provoqué une hausse en cascade des prix de nombreux produits et services. Ainsi c'est à cause de la hausse des prix des carburants que les prix des transports ont augmenté. Et c'est ce facteur qui a alors provoqué l'augmentation des prix des produits alimentaires.Les prix se sont en effet envolés provoquant par voie de conséquence le courroux des citoyens qui n'en peuvent plus de voir chaque jour davantage leur pouvoir d'achat baisser considérablement. Une situation qui risque de s'envenimer encore plus avec l'entrée en vigueur de la hausse de l'électricité. Une hausse prévue elle aussi par la loi de finances 2016.Le ras-le-bol sera alors général. Le comble c'est que le gouvernement n'a pas les moyens de revoir sa politique. La chute des prix du baril de pétrole qui a eu un lourd impact sur le budget de l'Etat n'a pas laissé d'autres choix au gouvernement que d'agir de la sorte pour amortir un tant soit peu le choc.Les syndicats risquent fort bien de monter au créneau pour défendre le pouvoir d'achat des catégories socioprofessionnelles qu'ils représentent. Dans le secteur de l'Education c'est déjà fait puisque le Snapest a d'ores et déjà annoncé la couleur. Il y a quelques jours ce syndicat a revendiqué une réévaluation salariale pour permettre aux enseignants de pouvoir faire face à la hausse des prix.Ce syndicat a demandé en effet une "indemnité de la cherté" pour pouvoir faire face à la hausse vertigineuse des prix. Il est évident que d'autres syndicats vont emboîter le pas au Snapest. Car dans tous les secteurs d'activités le ras-lebol est perceptible.L'érosion du pouvoir d'achat de larges catégories sociales est source de grande inquiétude. C'est dire combien la situation est préoccupante pour le gouvernement qui doit faire face à ce malaise social dans une conjoncture difficile car il n'a plus les moyens financiers nécessaires pour calmer les esprits.Ce d'autant que des syndicats commencent à demander une réévaluation des salaires pour permettre aux fonctionnaires et travailleurs de pouvoir faire face à cette nouvelle donne qui, forcément, met le gouvernement dans l'embarras.Comme attendu donc ce début d'année s'avère compliqué pour les pouvoirs publics. La flambée des prix de certains produits et services est à l'origine de cette montée de la contestation. Il faut dire que cette hausse des prix a de quoi être inquiétante pour les petites et moyennes bourses.C'est donc par les manifestations de rues que s'expriment leurs colères. Des manifestations qui ont secoué plusieurs localités et villes du pays et qui risquent de faire tache d'huile. En effet l'érosion du pouvoir d'achat des citoyens n'est pas faite pour arranger les choses. Cette flambée des prix est due, d'abord et avant tout, à l'augmentation des tarifs des carburants décidés par le gouvernement dans le cadre des dispositions de la loi de finances de 2016.Depuis le 1er janvier dernier l'augmentation des prix des carburants a provoqué une hausse en cascade des prix de nombreux produits et services. Ainsi c'est à cause de la hausse des prix des carburants que les prix des transports ont augmenté. Et c'est ce facteur qui a alors provoqué l'augmentation des prix des produits alimentaires.Les prix se sont en effet envolés provoquant par voie de conséquence le courroux des citoyens qui n'en peuvent plus de voir chaque jour davantage leur pouvoir d'achat baisser considérablement. Une situation qui risque de s'envenimer encore plus avec l'entrée en vigueur de la hausse de l'électricité. Une hausse prévue elle aussi par la loi de finances 2016.Le ras-le-bol sera alors général. Le comble c'est que le gouvernement n'a pas les moyens de revoir sa politique. La chute des prix du baril de pétrole qui a eu un lourd impact sur le budget de l'Etat n'a pas laissé d'autres choix au gouvernement que d'agir de la sorte pour amortir un tant soit peu le choc.Les syndicats risquent fort bien de monter au créneau pour défendre le pouvoir d'achat des catégories socioprofessionnelles qu'ils représentent. Dans le secteur de l'Education c'est déjà fait puisque le Snapest a d'ores et déjà annoncé la couleur. Il y a quelques jours ce syndicat a revendiqué une réévaluation salariale pour permettre aux enseignants de pouvoir faire face à la hausse des prix.Ce syndicat a demandé en effet une "indemnité de la cherté" pour pouvoir faire face à la hausse vertigineuse des prix. Il est évident que d'autres syndicats vont emboîter le pas au Snapest. Car dans tous les secteurs d'activités le ras-lebol est perceptible.L'érosion du pouvoir d'achat de larges catégories sociales est source de grande inquiétude. C'est dire combien la situation est préoccupante pour le gouvernement qui doit faire face à ce malaise social dans une conjoncture difficile car il n'a plus les moyens financiers nécessaires pour calmer les esprits.




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