Le «gain» même par l'«art» de la simulation '

En football, la simulation est assimilée aux actes pouvant faire basculer un match par son caractère «trompeur» émanant de la triche et de l'antijeu. Combien de rencontres furent bafouées où des équipes furent scandaleusement flouées quant à leur issue par cette influence sur le score technique ou l'amoindrir sur le plan numérique (faire semblant d'avoir été agressé) par la faute de joueurs ayant «excellé» dans l' «art» de la simulation, aux lieu et place de réelles et ingénieuses «finitions» ' Il faut mesurer l'impact, après coup, que sème dans l'esprit des foules cette inévitable confusion.Tout le monde sportif condamne vigoureusement le «forfait» commis par cet acte contrefait. Dans certains championnats, des joueurs ont été «taxés» de spécialistes et identifiés comme tels, au bout de leur carrière, en cette (abjecte) manière. Constatant les tors commis et coups portés, avec récurrence, à la «déontologie» du jeu et sa régularité, au niveau de la FIFA, et depuis des lustres déjà que des directives «strictes» et fermes ont été données aux «referees» pour endiguer ce fléau afin que le football ne prenne eau de toutes parts.A telle enseigne que lors des confrontations FIFA, UEFA et CAF, on ne badine plus avec cet «écart» où des textes ont été consacrés et destinés à cet égard. Les joueurs passibles de cette tentative de «fraude», perpétrée au grand jour sur le terrain et particulièrement dans les surfaces de réparation, seront sévèrement punis. Que cesse cette «simulation» devenue une véritable machination contre la pureté, la noblesse et la bonne intention.