Nous voulons démontrer à travers cette étude que l’écriture de Rachid Djaidani dans le roman Boumkeur se caractérise par des transgressions par rapport à des normes langagières et esthétiques. En effet, le roman qui s’inscrit dans une littérature dite « beur » marque des torsions de deux niveaux: le premier est esthétique où les règles de l’écriture sont subverties. Le deuxième est linguistique et se manifeste par l’utilisation du FCC ainsi que le recours au métissage de langues et aux jeux de mots dont le défigement des expressions langagières courantes qui constitue la part belle de ces gauchissements linguistiques .
Posté Le : 11/12/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Zakia Lounis
Source : الإحياء Volume 16, Numéro 1, Pages 29-48