Algérie

Le FPI réclame un report des législatives Côte d'Ivoire



Le FPI réclame un report des législatives                                    Côte d'Ivoire
Le Front populaire ivoirien (FPI, formation créée par le président déchu Laurent Gbagbo) a réclamé mardi un report des législatives prévues le 11 décembre, se redisant prêt à participer au scrutin si ses conditions, libération de ses détenus notamment, étaient satisfaites. "Aucun dossier de candidature" des partis pro-Gbagbo "n'a encore été déposé", a déclaré Sylvain Miaka Oureto, président par intérim du Front populaire ivoirien, au lendemain de la clôture de la période de dépôt des candidatures. "Le dialogue est ouvert et nous espérons que la discussion va se poursuivre" avec le gouvernement du président Alassane Ouattara, a-t-il indiqué. L'ancienne coalition au pouvoir, le Congrès national de la résistance pour la démocratie (CNRD), qui menace depuis des semaines de boycotter les élections, s'est réunie mardi pour faire le point sur les échanges de la veille avec le ministre de l'Intérieur Hamed Bakayoko. M. Oureto a maintenu les exigences de son camp, en particulier la restauration de la sécurité et la libération ou le retour d'exil des anciens responsables du régime déchu, notamment M. Gbagbo, détenu depuis plus de six mois. "On ne peut pas apporter des solutions en deux, trois heures", "un petit décalage" du scrutin sera nécessaire, a-t-il affirmé, souhaitant que le gouvernement consente à "un report d'un ou deux mois".
Yémen
Des affrontements font 7 morts
à Taëz
Sept personnes ont trouvé la mort lors d'affrontements mercredi entre partisans du régime et adversaires à Taëz, dans le sud-ouest du Yémen, ont rapporté des médias. Selon des sources médicales citées par les médias, deux civils, dont un enfant, ainsi que deux éléments tribaux ont péri dans ces heurts entre les forces gouvernementales et des hommes de tribus soutenant les protestataires qui réclament le départ du président Ali Abdelah Saleh. Selon des militants, les forces gouvernementales ont pilonné les quartiers résidentiels de cette ville à la pointe de la contestation aux obus de char et aux mortiers. Mardi soir à Sanaa, trois personnes ont été tuées lors de combats dans le quartier d'El-Hassaba entre les troupes loyalistes et les combattants d'un chef tribal rallié à la contestation, selon des sources médicales et le ministère de l'Intérieur. Ces mêmes sources ont indiqué que deux partisans de cheikh Sadek El-Ahmar avaient été tués, ainsi qu'un policier, et sept autres personnes blessées. Ces violences sont intervenues après une accalmie depuis vendredi.
Le Front populaire ivoirien (FPI, formation créée par le président déchu Laurent Gbagbo) a réclamé mardi un report des législatives prévues le 11 décembre, se redisant prêt à participer au scrutin si ses conditions, libération de ses détenus notamment, étaient satisfaites. "Aucun dossier de candidature" des partis pro-Gbagbo "n'a encore été déposé", a déclaré Sylvain Miaka Oureto, président par intérim du Front populaire ivoirien, au lendemain de la clôture de la période de dépôt des candidatures. "Le dialogue est ouvert et nous espérons que la discussion va se poursuivre" avec le gouvernement du président Alassane Ouattara, a-t-il indiqué. L'ancienne coalition au pouvoir, le Congrès national de la résistance pour la démocratie (CNRD), qui menace depuis des semaines de boycotter les élections, s'est réunie mardi pour faire le point sur les échanges de la veille avec le ministre de l'Intérieur Hamed Bakayoko. M. Oureto a maintenu les exigences de son camp, en particulier la restauration de la sécurité et la libération ou le retour d'exil des anciens responsables du régime déchu, notamment M. Gbagbo, détenu depuis plus de six mois. "On ne peut pas apporter des solutions en deux, trois heures", "un petit décalage" du scrutin sera nécessaire, a-t-il affirmé, souhaitant que le gouvernement consente à "un report d'un ou deux mois".
Yémen
Des affrontements font 7 morts
à Taëz
Sept personnes ont trouvé la mort lors d'affrontements mercredi entre partisans du régime et adversaires à Taëz, dans le sud-ouest du Yémen, ont rapporté des médias. Selon des sources médicales citées par les médias, deux civils, dont un enfant, ainsi que deux éléments tribaux ont péri dans ces heurts entre les forces gouvernementales et des hommes de tribus soutenant les protestataires qui réclament le départ du président Ali Abdelah Saleh. Selon des militants, les forces gouvernementales ont pilonné les quartiers résidentiels de cette ville à la pointe de la contestation aux obus de char et aux mortiers. Mardi soir à Sanaa, trois personnes ont été tuées lors de combats dans le quartier d'El-Hassaba entre les troupes loyalistes et les combattants d'un chef tribal rallié à la contestation, selon des sources médicales et le ministère de l'Intérieur. Ces mêmes sources ont indiqué que deux partisans de cheikh Sadek El-Ahmar avaient été tués, ainsi qu'un policier, et sept autres personnes blessées. Ces violences sont intervenues après une accalmie depuis vendredi.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)