Fonds monétaire international (FMI), a indiquéhier, s'attendre à une croissance de 2,3% pour l'économie algérienne en 2019, soit un peu moins que les 2,7% anticipés en octobre dernier.Fonds monétaire international (FMI), a indiquéhier, s'attendre à une croissance de 2,3% pour l'économie algérienne en 2019, soit un peu moins que les 2,7% anticipés en octobre dernier.
Dans la nouvelle édition de son rapport semestriel sur les perspectiveséconomiques mondiales, publiée àla veille des réunions de printemps du FMIet du Groupe de la Banque mondiale, lepréteur en dernier ressort a rectifié égalementsa prévision pour la croissance en2018, la situant désormais à 2,1% contre2,5% anticipé sdans l'édition d'octobre.La croissance devrait ensuite retomber à1,8% en 2020.Selon les mêmes projections, l'inflation est restée contenue en 2018, autour de4,3%. Le FMI prévoit, cependant, unrebond à 5,6% en 2019 et à 6,7% en 2020.
Le déficit du compte courant augmenteracette année, à -12,5% du PIB contre -9,1%en 2018, et devrait représenter -9,3% duPIB en 2020.Le taux de chômage est resté stable en2018, à 11,7%, mais devrait progresser à12,6% en 2019 et à 13,7% en 2020.Dans les conclusions de sa dernière évaluationde l'économie algérienne, renduespubliques en juin dernier, l'institution deBretton Woods avait soutenu, quel'Algérie disposait d'une fenêtre d'opportunités,pour "atteindre le double objectif destabilisation macro-économique et de promotiond'une croissance durable".Le FMI, qui a suggéré un dosage de politiques économiques,
a estimé qu'une masse critique de réformes structurelles était nécessaire, pour promouvoir l'émergence d'une économie diversifiée, tirée par le secteur privé, et réduire ainsi la dépendance aux hydrocarbures. Mais cela nécessitera, selon le Fonds, de recourir à un large éventail d'options de financements, notamment l'émission de titres de dette publique au taux du marché, des partenariats publics-privés, des ventes d'actifs et d'emprunts extérieurs, pour financer des projets d'investissements bien choisis. De son côté, la Banque mondiale, qui vient de publier le rapport de suivi de la situation économique en Algérie, a suggéré un retour rapide à l'ajustement budgétaire, dès le deuxième semestre 2019.
Ce rééquilibrage budgétaire devrait être accompagné de réformes structurelles, du côté des subventions et du climat des affaires. La BM a conclu, que le principal défi pour l'économie algérienne est de renforcer sa résilience à la volatilité des prix des hydrocarbures, à la fois, en atténuant l'impact de cette volatilité sur le budget et en diversifiantles sources de croissance
Dans la nouvelle édition de son rapport semestriel sur les perspectiveséconomiques mondiales, publiée àla veille des réunions de printemps du FMIet du Groupe de la Banque mondiale, lepréteur en dernier ressort a rectifié égalementsa prévision pour la croissance en2018, la situant désormais à 2,1% contre2,5% anticipé sdans l'édition d'octobre.La croissance devrait ensuite retomber à1,8% en 2020.Selon les mêmes projections, l'inflation est restée contenue en 2018, autour de4,3%. Le FMI prévoit, cependant, unrebond à 5,6% en 2019 et à 6,7% en 2020.
Le déficit du compte courant augmenteracette année, à -12,5% du PIB contre -9,1%en 2018, et devrait représenter -9,3% duPIB en 2020.Le taux de chômage est resté stable en2018, à 11,7%, mais devrait progresser à12,6% en 2019 et à 13,7% en 2020.Dans les conclusions de sa dernière évaluationde l'économie algérienne, renduespubliques en juin dernier, l'institution deBretton Woods avait soutenu, quel'Algérie disposait d'une fenêtre d'opportunités,pour "atteindre le double objectif destabilisation macro-économique et de promotiond'une croissance durable".Le FMI, qui a suggéré un dosage de politiques économiques,
a estimé qu'une masse critique de réformes structurelles était nécessaire, pour promouvoir l'émergence d'une économie diversifiée, tirée par le secteur privé, et réduire ainsi la dépendance aux hydrocarbures. Mais cela nécessitera, selon le Fonds, de recourir à un large éventail d'options de financements, notamment l'émission de titres de dette publique au taux du marché, des partenariats publics-privés, des ventes d'actifs et d'emprunts extérieurs, pour financer des projets d'investissements bien choisis. De son côté, la Banque mondiale, qui vient de publier le rapport de suivi de la situation économique en Algérie, a suggéré un retour rapide à l'ajustement budgétaire, dès le deuxième semestre 2019.
Ce rééquilibrage budgétaire devrait être accompagné de réformes structurelles, du côté des subventions et du climat des affaires. La BM a conclu, que le principal défi pour l'économie algérienne est de renforcer sa résilience à la volatilité des prix des hydrocarbures, à la fois, en atténuant l'impact de cette volatilité sur le budget et en diversifiantles sources de croissance
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Posté Le : 10/04/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : RIAD EL HADI
Source : www.lemidi-dz.com