Algérie

Le FLN ne craint pas les islamistes Belkhadem optimiste pour les prochaines législatives



Le FLN ne craint pas les islamistes                                    Belkhadem optimiste pour les prochaines législatives
Le secrétaire général du FLN a affirmé une fois encore que son parti est confiant en ses chances de remporter les prochaines élections législatives et préserver ainsi sa place de première force politique du pays. Cette sérénité de Abdelaziz Belkhadem l'a amené, par conséquent, à soutenir qu'il ne craint aucun parti, y compris ceux appartenant à la mouvance islamiste.
Belkhadem, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse et qui a rejeté en bloc les accusation selon lesquelles son parti a « dévoyé » les réformes, a souligné que « toutes les expériences de par le monde musulman, comme cela a été prouvé lors des dernières élections en Tunisie ou en Egypte, attestent que la base électorale des islamistes tournent autour de 30% ou 35% du corps électoral ».
Le conférencier réfute l'éventualité d'un raz-de-marée des islamistes lors des prochaines législatives car pour lui une partie du succès électoral des islamistes en Tunisie et en Egypte s'explique par le fait qu'ils étaient dans l'opposition ce qui n'est pas le cas en Algérie. « Chez nous certains sont dans l'Allaince présidentielle et d'autres dans l'opposition ».
A cela s'ajoute, a-t-il précisé, en faisant allusion au raz-de-marée réalisé par le FIS dissous, que « cela s'est produit chez nous en 90 et 91».
Belkhadem a dit aussi que le FLN ne craint pas les nouveaux partis qui sont en attente d'un agrément et, à ce propos, il leur a souhaité à tous, y compris donc au nouveau parti de Djaballah, la bienvenue sur la scène nationale. Soutenant une fois encore que son parti est la cible d'une campagne de dénigrement émanant y compris de ses partenaires de l'Alliance présidentielle, il dira à propos de cette dernière « qu'elle a été créée pour défendre le programme du président et que jusqu'à preuve du contraire elle n'est pas dissoute. De plus l'adhésion à l'Alliance est volontaire et non obligatoire et que celui qui veut se retirer est libre de le faire ».
Belkhadem répond ainsi aux menaces de retrait formulées par le MSP. Plaidant pour un système semi-présidentiel et contre la limitation des mandats du président il a de nouveau déclaré que « le candidat du FLN aux présidentielles de 2014 est Abdelaziz Buteflika, à moins qu'il refuse ».
Le secrétaire général du FLN a affirmé une fois encore que son parti est confiant en ses chances de remporter les prochaines élections législatives et préserver ainsi sa place de première force politique du pays. Cette sérénité de Abdelaziz Belkhadem l'a amené, par conséquent, à soutenir qu'il ne craint aucun parti, y compris ceux appartenant à la mouvance islamiste.
Belkhadem, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse et qui a rejeté en bloc les accusation selon lesquelles son parti a « dévoyé » les réformes, a souligné que « toutes les expériences de par le monde musulman, comme cela a été prouvé lors des dernières élections en Tunisie ou en Egypte, attestent que la base électorale des islamistes tournent autour de 30% ou 35% du corps électoral ».
Le conférencier réfute l'éventualité d'un raz-de-marée des islamistes lors des prochaines législatives car pour lui une partie du succès électoral des islamistes en Tunisie et en Egypte s'explique par le fait qu'ils étaient dans l'opposition ce qui n'est pas le cas en Algérie. « Chez nous certains sont dans l'Allaince présidentielle et d'autres dans l'opposition ».
A cela s'ajoute, a-t-il précisé, en faisant allusion au raz-de-marée réalisé par le FIS dissous, que « cela s'est produit chez nous en 90 et 91».
Belkhadem a dit aussi que le FLN ne craint pas les nouveaux partis qui sont en attente d'un agrément et, à ce propos, il leur a souhaité à tous, y compris donc au nouveau parti de Djaballah, la bienvenue sur la scène nationale. Soutenant une fois encore que son parti est la cible d'une campagne de dénigrement émanant y compris de ses partenaires de l'Alliance présidentielle, il dira à propos de cette dernière « qu'elle a été créée pour défendre le programme du président et que jusqu'à preuve du contraire elle n'est pas dissoute. De plus l'adhésion à l'Alliance est volontaire et non obligatoire et que celui qui veut se retirer est libre de le faire ».
Belkhadem répond ainsi aux menaces de retrait formulées par le MSP. Plaidant pour un système semi-présidentiel et contre la limitation des mandats du président il a de nouveau déclaré que « le candidat du FLN aux présidentielles de 2014 est Abdelaziz Buteflika, à moins qu'il refuse ».


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