Algérie

Le FLN et le RND dégringolent, le FFS et le PT remontent



Le FLN et le RND dégringolent, le FFS et le PT remontent
Cinq partis politiques augmentent le nombre de leurs députés à l'Assemblée populaire nationale (APN). Deux autres quant à eux perdent des sièges. Le Parti des travailleurs (PT), qui avait obtenu 20 sièges initialement, en gagne sept nouveaux. Le groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS) passe de 20 à 27 députés. L'Alliance de l'Algérie verte se voit attribuer trois sièges supplémentaires, atteignant ainsi 51 députés. Le Mouvement populaire algérien (MPA), qui avait six sièges, et le Front pour la justice et le développement (FJD), qui en avait 7, obtiennent un nouveau siège chacun. Le FLN quant à lui perd 13 sièges. L'autre membre de l'Alliance, le RND, se voit retirer deux sièges. Le parti du FLN qui avait obtenu 221 sièges passe ainsi à 208 sièges, tandis que le Rassemblement national démocratique (RND) en a perdu deux (2) et compte désormais 68 députés. L'Alliance de l'Algérie verte (AAV), le Mouvement des Citoyens Libres (MCL), la liste indépendante dénommée "Acil B" (circonscription électorale de Blida) ont perdu 1 siège chacun. Il y a eu un petit « rééquilibrage » au sein de la nouvelle Assemblée populaire nationale (APN) issue du scrutin du 10 mai qui tiendra aujourd'hui, sa première séance plénière au titre de la septième législature, conformément aux dispositions de l'article 113 de la Constitution. Le Conseil constitutionnel a tranché sur les recours introduits par les partis politiques et les candidats ayant contesté les résultats des élections législatives du 10 mai. L'institution présidée par Tayeb Belaïz a indiqué jeudi dernier dans un communiqué avoir accepté treize recours introduits par des partis politiques et des candidats ayant contesté les résultats de ce scrutin, dont un recours sans incidence sur les résultats définitifs. Le Conseil a jugé ces recours fondés. Il a par ailleurs rejeté 107 recours non fondés et non argumentés, précisant que les recours acceptés concernent douze circonscriptions électorales, à savoir Chlef, Blida, Bouira, Tébessa, Djelfa, Annaba, Guelma, Constantine, Mostaganem, Bordj Bou Arreridj, Boumerdès et Mila. Par ailleurs, 47 recours ont été jugés irrecevables par le Conseil constitutionnel parmi les 167 dont il a été saisi par certains candidats et partis politiques qui contestent les résultats des élections législatives du 10 mai. Le rejet des 47 recours est justifié par le fait que ces derniers ne répondaient pas aux conditions légales définies par la loi organique portant régime électoral et le règlement fixant les règles de fonctionnement du Conseil constitutionnel.
Il est à rappeler que le nombre de députés est passé de 389 à 462, dont 143 femmes. Les 462 sièges de l'APN seront répartis entre 27 partis politiques, dont 9 nouvellement agréés, et députés indépendants. La première séance de cette septième législature qui sera présidée par le doyen des élus, assisté des deux plus jeunes députés de la nouvelle assemblée, conformément à l'article 2 du règlement intérieur de l'APN, sera consacrée à l'appel des députés, à la constitution de la commission de validation de la qualité de membre et à l'élection du nouveau président de la chambre basse du parlement. Peu après, les députés passe aux choses sérieuses, notamment l'élection du nouveau président de l'APN. Le règlement intérieur de l'APN prévoit qu'en cas d'existence d'un seul candidat, l'élection se fait à main levée. En cas de pluralité de candidats, le président de l'APN est élu au scrutin secret, le candidat ayant obtenu la majorité absolue est déclaré élu. En cas d'absence de majorité absolue, un deuxième tour est organisé entre les deux premiers candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix. Le dépôt de candidatures pour la présidence de l'APN est ouvert à toutes les formations politiques. Sans nul doute, avec un FLN « très fort », au sein de a chambre basse du Parlement, il serait superflu de passer par tout ce processus. Le nom de Rachid Harraoubia, le désormais ex ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique est « plébiscité » par ses pairs du vieux parti. Les quelques voix qui lui restent pour la majorité absolue, il ira les puiser dans le groupe de députés indépendants ou des députés « front du refus » qui s'abstiendraient de suivre les consignes de leurs leaders qui ont décrétés le boycott de l'APN.
Cinq partis politiques augmentent le nombre de leurs députés à l'Assemblée populaire nationale (APN). Deux autres quant à eux perdent des sièges. Le Parti des travailleurs (PT), qui avait obtenu 20 sièges initialement, en gagne sept nouveaux. Le groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS) passe de 20 à 27 députés. L'Alliance de l'Algérie verte se voit attribuer trois sièges supplémentaires, atteignant ainsi 51 députés. Le Mouvement populaire algérien (MPA), qui avait six sièges, et le Front pour la justice et le développement (FJD), qui en avait 7, obtiennent un nouveau siège chacun. Le FLN quant à lui perd 13 sièges. L'autre membre de l'Alliance, le RND, se voit retirer deux sièges. Le parti du FLN qui avait obtenu 221 sièges passe ainsi à 208 sièges, tandis que le Rassemblement national démocratique (RND) en a perdu deux (2) et compte désormais 68 députés. L'Alliance de l'Algérie verte (AAV), le Mouvement des Citoyens Libres (MCL), la liste indépendante dénommée "Acil B" (circonscription électorale de Blida) ont perdu 1 siège chacun. Il y a eu un petit « rééquilibrage » au sein de la nouvelle Assemblée populaire nationale (APN) issue du scrutin du 10 mai qui tiendra aujourd'hui, sa première séance plénière au titre de la septième législature, conformément aux dispositions de l'article 113 de la Constitution. Le Conseil constitutionnel a tranché sur les recours introduits par les partis politiques et les candidats ayant contesté les résultats des élections législatives du 10 mai. L'institution présidée par Tayeb Belaïz a indiqué jeudi dernier dans un communiqué avoir accepté treize recours introduits par des partis politiques et des candidats ayant contesté les résultats de ce scrutin, dont un recours sans incidence sur les résultats définitifs. Le Conseil a jugé ces recours fondés. Il a par ailleurs rejeté 107 recours non fondés et non argumentés, précisant que les recours acceptés concernent douze circonscriptions électorales, à savoir Chlef, Blida, Bouira, Tébessa, Djelfa, Annaba, Guelma, Constantine, Mostaganem, Bordj Bou Arreridj, Boumerdès et Mila. Par ailleurs, 47 recours ont été jugés irrecevables par le Conseil constitutionnel parmi les 167 dont il a été saisi par certains candidats et partis politiques qui contestent les résultats des élections législatives du 10 mai. Le rejet des 47 recours est justifié par le fait que ces derniers ne répondaient pas aux conditions légales définies par la loi organique portant régime électoral et le règlement fixant les règles de fonctionnement du Conseil constitutionnel.
Il est à rappeler que le nombre de députés est passé de 389 à 462, dont 143 femmes. Les 462 sièges de l'APN seront répartis entre 27 partis politiques, dont 9 nouvellement agréés, et députés indépendants. La première séance de cette septième législature qui sera présidée par le doyen des élus, assisté des deux plus jeunes députés de la nouvelle assemblée, conformément à l'article 2 du règlement intérieur de l'APN, sera consacrée à l'appel des députés, à la constitution de la commission de validation de la qualité de membre et à l'élection du nouveau président de la chambre basse du parlement. Peu après, les députés passe aux choses sérieuses, notamment l'élection du nouveau président de l'APN. Le règlement intérieur de l'APN prévoit qu'en cas d'existence d'un seul candidat, l'élection se fait à main levée. En cas de pluralité de candidats, le président de l'APN est élu au scrutin secret, le candidat ayant obtenu la majorité absolue est déclaré élu. En cas d'absence de majorité absolue, un deuxième tour est organisé entre les deux premiers candidats ayant obtenu le plus grand nombre de voix. Le dépôt de candidatures pour la présidence de l'APN est ouvert à toutes les formations politiques. Sans nul doute, avec un FLN « très fort », au sein de a chambre basse du Parlement, il serait superflu de passer par tout ce processus. Le nom de Rachid Harraoubia, le désormais ex ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique est « plébiscité » par ses pairs du vieux parti. Les quelques voix qui lui restent pour la majorité absolue, il ira les puiser dans le groupe de députés indépendants ou des députés « front du refus » qui s'abstiendraient de suivre les consignes de leurs leaders qui ont décrétés le boycott de l'APN.




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