RESUME:
L’accès des PME au crédit reste très difficile, en raison de la perception par les intermédiaires financiers des risques provenant de facteurs liés à l’environnement, ce qui peut constituer un frein à leur modernisation et à leur développement. S’agissant des PME algériennes, elles reposent essentiellement sur l’endettement bancaire pour leur financement externe. Or, l’engagement des banques apparaît fortement dépendant de l’existence d’un certain «relationnel bancaire» et des possibilités de garanties qu’offre l’emprunteur. Les programmes d’intervention publique, limitent les effets d’exclusion des PME qui se trouvent dans l’impossibilité de rassembler ces conditions, c’est le cas de la CGCI-pme. Notre intervention sera consacrée, à la description de l’expérience de l’Algérie en termes de mécanismes de garantie dédiés aux PME, il s’agit de la CGCI-pme, puis nous passons à une étude comparative entre le mécanisme Tunisien la SOTUGAR (Tunisie) et le mécanisme Algérien CGCI pme , apportant des éléments de diagnostic et d’appréciation, dans le but de dégager des pistes d’amélioration pour les pratiques algériennes.
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Posté Le : 27/02/2022
Posté par : einstein
Ecrit par : - Azzaoui Khaled
Source : Revue des reformes Economique et intégration dans l’économie mondiale Volume 11, Numéro 21, Pages 69-88