Algérie

Le FFS réagit enfin !



Le Front des forces socialistes (FFS) a réagi hier, à la fièvre sociale qui touche plusieurs secteurs vitaux du pays.Le Front des forces socialistes (FFS) a réagi hier, à la fièvre sociale qui touche plusieurs secteurs vitaux du pays.
Dans un commuiqué signé par le Premier Secrétaire Mohamed HadjDjilani, le FFS "salue la mobilisationdes enseignants, des médecins résidents, des étudiants de l'ENS et des syndicats autonomes, leurs mouvements sont un signalfort de prise de conscience au seinde la société, et qui a brisé le mur de la peur, par des sacrifices, en faveurs des droits sociaux et politiques".
Tout en exprimant son "inquiétude", le parti du défunt Hocine Aït Ahmed estime que "les pouvoirs publics se devaient d'ouvrir un dialogue permanent et inclusif à l'effet de rechercher des solutionsconsensuelles aux problèmes posés par les différents syndicats et collectifs." "Néanmoins, force est de constater que le pouvoir privilégie la menace et la répression en lieu et place du dialogue et de la concertation",écrit le plus vieux parti d'opposition en Algérie et d'ajouter :
"Menacer les enseignants grévistes de radiation, réprimer les étudiants des écoles nationales supérieures sont des actes condamnables." Le FFS dénonce ainsi la "gestion brutale prônée par le régime, qui n'est que le prolongement de sa politique anti-populaire, antisociale, antinationale et antidémocratique." Le parti conclut en affirmant qu'il "continuera de militer pour un Etat de droit, un Etat qui consacre les libertés individuelles et collectives, un Etat qui garantisse les droits à l'expression, à la manifestation et à la revendication pacifique."
Dans un commuiqué signé par le Premier Secrétaire Mohamed HadjDjilani, le FFS "salue la mobilisationdes enseignants, des médecins résidents, des étudiants de l'ENS et des syndicats autonomes, leurs mouvements sont un signalfort de prise de conscience au seinde la société, et qui a brisé le mur de la peur, par des sacrifices, en faveurs des droits sociaux et politiques".
Tout en exprimant son "inquiétude", le parti du défunt Hocine Aït Ahmed estime que "les pouvoirs publics se devaient d'ouvrir un dialogue permanent et inclusif à l'effet de rechercher des solutionsconsensuelles aux problèmes posés par les différents syndicats et collectifs." "Néanmoins, force est de constater que le pouvoir privilégie la menace et la répression en lieu et place du dialogue et de la concertation",écrit le plus vieux parti d'opposition en Algérie et d'ajouter :
"Menacer les enseignants grévistes de radiation, réprimer les étudiants des écoles nationales supérieures sont des actes condamnables." Le FFS dénonce ainsi la "gestion brutale prônée par le régime, qui n'est que le prolongement de sa politique anti-populaire, antisociale, antinationale et antidémocratique." Le parti conclut en affirmant qu'il "continuera de militer pour un Etat de droit, un Etat qui consacre les libertés individuelles et collectives, un Etat qui garantisse les droits à l'expression, à la manifestation et à la revendication pacifique."


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