Algérie

Le FFS justifie sa participation



La participation du FFS aux élections locales anticipées prévues le 27 novembre rochain, continue d'alimenter la chronique. En effet, cette décision prise, il y a une dizaine de jours, par la plus haute instance du parti, le Conseil national en l'occurrence n'a pas été au goût de certains cadres et militants.La participation du FFS aux élections locales anticipées prévues le 27 novembre rochain, continue d'alimenter la chronique. En effet, cette décision prise, il y a une dizaine de jours, par la plus haute instance du parti, le Conseil national en l'occurrence n'a pas été au goût de certains cadres et militants.
Sur les réseaux sociaux notamment, la polémique fait rage entre les partisans de cette décision et ses détracteurs. Un débat qui est exacerbé lorsque le frère ennemi le RCD a décidé de boycotter le prochain scrutin local. On comprend dès lors mieux pourquoi la direction du plus vieux parti de l'opposition donne l'impression de faire le forcing pour expliquer et surtout pour justifier cette décision de participation en multipliant les sorties sur le terrain et les déclarations médiatiques. Le premier Secrétaire national du parti, Youcef Aouichiche est, de ce fait,monté au créneau hier pour dire haut et fort les raisons qui ont conduit son parti à dire oui à l'option de participation.
« Cette décision a été prise suite à un débat très large au sein de notre structure, notamment le Conseil national du parti, où nous avons décidé à l'unanimité de prendre part à ces élections, et ce, pour trois impératifs qui nous semblent essentiels » a indiqué hier Aiouchiche sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale. L'invité de la radio dira ainsi que « nous sommes contre les extrémistes sécessionnistes et ceux qui veulent stigmatiser la Kabylie, instaurer un climat de haine entre les Algériens, et qui à chaque fois, essaient d'instrumentaliser certains événements, tragiques notamment, pour porter atteinte à l'unité de notre pays et à la cohésion du peuple algérien », a-t-il insisté. Le premier Secrétaire national du FFS fait clairement allusion au mouvement séparatiste kabyle, le MAK , désormais classé par le gouvernement comme organisation terroriste. Et d'ajouter, sans ambages aucun, que « la participation du FFS aux élections locales est un choix stratégique dicté par nos responsabilités envers la nation ». Somme toute, conscient de l'enjeu de cette participation, alors que le pays traversé une des pires crises politique de son histoire, le FFS a voulu , par cette décision, couper l'herbe sous les pieds de tous ceux qui font fi de la stabilité du pays et surtout de son unité.
Le FFS veut prouver, par cette décision, son indéfectible attachement à l'unité nationale en vue de faire barrage à tous ceux qui ambitionnent de nuire à l'Etat national. Youcef Aouichiche a justement rappelé, hier, que le FFS est issu du mouvement national. Dans ce contexte, il a, de nouveau, appelé à ne pas « céder le terrain à des extrémistes et des aventuriers, qui sont des petites minorités idéologiques et politiques qui veulent imposer des idées et projets politiques qui constituent aujourd'hui un péril et un danger pour la continuité de l'Etat national ». Notons que le FFS n'a pas participé aux élections législatives anticipées du 12 juin dernier. Sur cette question justement et sur le pourquoi de ce changement de cap, trois mois après, Aouichiche a indiqué qu'« étant donné que les institutions locales nous donnent l'opportunité d'être en contact permanent avec les citoyens ». D'où l'option de participation
Sur les réseaux sociaux notamment, la polémique fait rage entre les partisans de cette décision et ses détracteurs. Un débat qui est exacerbé lorsque le frère ennemi le RCD a décidé de boycotter le prochain scrutin local. On comprend dès lors mieux pourquoi la direction du plus vieux parti de l'opposition donne l'impression de faire le forcing pour expliquer et surtout pour justifier cette décision de participation en multipliant les sorties sur le terrain et les déclarations médiatiques. Le premier Secrétaire national du parti, Youcef Aouichiche est, de ce fait,monté au créneau hier pour dire haut et fort les raisons qui ont conduit son parti à dire oui à l'option de participation.
« Cette décision a été prise suite à un débat très large au sein de notre structure, notamment le Conseil national du parti, où nous avons décidé à l'unanimité de prendre part à ces élections, et ce, pour trois impératifs qui nous semblent essentiels » a indiqué hier Aiouchiche sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale. L'invité de la radio dira ainsi que « nous sommes contre les extrémistes sécessionnistes et ceux qui veulent stigmatiser la Kabylie, instaurer un climat de haine entre les Algériens, et qui à chaque fois, essaient d'instrumentaliser certains événements, tragiques notamment, pour porter atteinte à l'unité de notre pays et à la cohésion du peuple algérien », a-t-il insisté. Le premier Secrétaire national du FFS fait clairement allusion au mouvement séparatiste kabyle, le MAK , désormais classé par le gouvernement comme organisation terroriste. Et d'ajouter, sans ambages aucun, que « la participation du FFS aux élections locales est un choix stratégique dicté par nos responsabilités envers la nation ». Somme toute, conscient de l'enjeu de cette participation, alors que le pays traversé une des pires crises politique de son histoire, le FFS a voulu , par cette décision, couper l'herbe sous les pieds de tous ceux qui font fi de la stabilité du pays et surtout de son unité.
Le FFS veut prouver, par cette décision, son indéfectible attachement à l'unité nationale en vue de faire barrage à tous ceux qui ambitionnent de nuire à l'Etat national. Youcef Aouichiche a justement rappelé, hier, que le FFS est issu du mouvement national. Dans ce contexte, il a, de nouveau, appelé à ne pas « céder le terrain à des extrémistes et des aventuriers, qui sont des petites minorités idéologiques et politiques qui veulent imposer des idées et projets politiques qui constituent aujourd'hui un péril et un danger pour la continuité de l'Etat national ». Notons que le FFS n'a pas participé aux élections législatives anticipées du 12 juin dernier. Sur cette question justement et sur le pourquoi de ce changement de cap, trois mois après, Aouichiche a indiqué qu'« étant donné que les institutions locales nous donnent l'opportunité d'être en contact permanent avec les citoyens ». D'où l'option de participation


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