Algérie

Le FFS est pour une Algérie unie et indivisible


Le FFS est pour une Algérie unie et indivisible
La célébration du cinquante deuxième anniversaire de la création du plus veiux parti d'opposition a été marquée hier à Tizi Ouzou par la tenue de plusieurs activités dont un rassemblement des militants et sympathisants.La célébration du cinquante deuxième anniversaire de la création du plus veiux parti d'opposition a été marquée hier à Tizi Ouzou par la tenue de plusieurs activités dont un rassemblement des militants et sympathisants.Ce dernier a été ponctué par un meeting animé par le premier secrétaire du parti, Mohamed Nebbou. « C'est en ces lieux que le FFS fut proclamé le 29 septembre 1963 par notre Président Hocine Ait Ahmed et ses compagnons de lutte », a rappelé d'emblée l'orateur. Et d'ajouter :« Je profite de cette occasion pour rendre un hommage particulier à nos martyrs et tous nos anciens 63, ceux qui sont toujours en vie et ceux qui nous ont quitté. Je tiens à vous dire que le FFS n'abdiquera pas dans son combat pour la reconnaissance du statut de martyr à nos valeureux chouhadas tombés au champ d'honneur pour défendre les acquis de l'indépendance nationale ».Mohamed Nebbou a en outre souligné que son parti a été créé pour faire face au coup de force perpétré contre la légitimité populaire et pour s'opposer à la dictature militaro- policière et de parti unique, installée au lendemain de l'indépendance : « Le FFS milite toujours pour un changement pacifique et démocratique du régime politique et la mise en place d'un Etat de droit ». L'orateur a profité de cette occasion pour rebondir sur l'actualité :« Notre quête d'une alternative met l'intérêt de l'Algérie, en tant que Etat, Nation et Société au-dessus de toutes autres considérations et place l'Etat de droit au centre de toute solution à la crise nationale. C'est cela notre socle, c'est notre combat et notre raison d'être ». Mohamed Nebbou a aussi insisté sur les principes de son parti :« Une Algérie unie et indivisible c'est notre héritage commun que nous devons tous préserver. Il est du devoir de chaque Algérienne et de chaque Algérien d'oeuvrer à la construction de l'alternative démocratique, car seuls la démocratie et l'Etat de droit peuvent se dresser contre les velléités sécessionnistes et les stratégies visant la partition de notre pays. Une démocratie véritable est un gage à même de préserver la pérennité de l'Etat-national et renforcer la cohésion sociale ».Enfin, l'orateur est revenu sur l'idée du FFS quant à la nécessité d'un consensus concernant les options stratégiques à engager : « L'Algérie est à la croisée des chemins. Aujourd'hui, face à la crise qui s'abat sur le pays, tant sur le plan économique que sur les plans politique, sécuritaire, social et culturel, et face un environnement régional et international périlleux, seul un consensus sur les options stratégiques qui engagent l'avenir de la nation est capable de mettre l'Algérie à l'abri du danger.Nous l'avons déjà dit, nous en sommes convaincus et nous le réaffirmons avec force et détermination aujourd'hui : le consensus national est la solution ». Le N° 1 du FFS a conclut en soulignant :« Suivons la résolution de la dernière session de notre Conseil national, nous allons travailler, dans les prochains jours, à l'élaboration d'un cadre de concertation pour renforcer le dialogue avec les acteurs politiques et sociaux sur le projet de la reconstruction d'un consensus national, de même que nous allons élaborer un cadre de dialogue avec la société civile pour discuter des problèmes, des préoccupations et des attentes de nos compatriotes ».Ce dernier a été ponctué par un meeting animé par le premier secrétaire du parti, Mohamed Nebbou. « C'est en ces lieux que le FFS fut proclamé le 29 septembre 1963 par notre Président Hocine Ait Ahmed et ses compagnons de lutte », a rappelé d'emblée l'orateur. Et d'ajouter :« Je profite de cette occasion pour rendre un hommage particulier à nos martyrs et tous nos anciens 63, ceux qui sont toujours en vie et ceux qui nous ont quitté. Je tiens à vous dire que le FFS n'abdiquera pas dans son combat pour la reconnaissance du statut de martyr à nos valeureux chouhadas tombés au champ d'honneur pour défendre les acquis de l'indépendance nationale ».Mohamed Nebbou a en outre souligné que son parti a été créé pour faire face au coup de force perpétré contre la légitimité populaire et pour s'opposer à la dictature militaro- policière et de parti unique, installée au lendemain de l'indépendance : « Le FFS milite toujours pour un changement pacifique et démocratique du régime politique et la mise en place d'un Etat de droit ». L'orateur a profité de cette occasion pour rebondir sur l'actualité :« Notre quête d'une alternative met l'intérêt de l'Algérie, en tant que Etat, Nation et Société au-dessus de toutes autres considérations et place l'Etat de droit au centre de toute solution à la crise nationale. C'est cela notre socle, c'est notre combat et notre raison d'être ». Mohamed Nebbou a aussi insisté sur les principes de son parti :« Une Algérie unie et indivisible c'est notre héritage commun que nous devons tous préserver. Il est du devoir de chaque Algérienne et de chaque Algérien d'oeuvrer à la construction de l'alternative démocratique, car seuls la démocratie et l'Etat de droit peuvent se dresser contre les velléités sécessionnistes et les stratégies visant la partition de notre pays. Une démocratie véritable est un gage à même de préserver la pérennité de l'Etat-national et renforcer la cohésion sociale ».Enfin, l'orateur est revenu sur l'idée du FFS quant à la nécessité d'un consensus concernant les options stratégiques à engager : « L'Algérie est à la croisée des chemins. Aujourd'hui, face à la crise qui s'abat sur le pays, tant sur le plan économique que sur les plans politique, sécuritaire, social et culturel, et face un environnement régional et international périlleux, seul un consensus sur les options stratégiques qui engagent l'avenir de la nation est capable de mettre l'Algérie à l'abri du danger.Nous l'avons déjà dit, nous en sommes convaincus et nous le réaffirmons avec force et détermination aujourd'hui : le consensus national est la solution ». Le N° 1 du FFS a conclut en soulignant :« Suivons la résolution de la dernière session de notre Conseil national, nous allons travailler, dans les prochains jours, à l'élaboration d'un cadre de concertation pour renforcer le dialogue avec les acteurs politiques et sociaux sur le projet de la reconstruction d'un consensus national, de même que nous allons élaborer un cadre de dialogue avec la société civile pour discuter des problèmes, des préoccupations et des attentes de nos compatriotes ».


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