La situation épidémique liée à la Covid-19 se stabilise en Algérie, où le nombre de nouveaux cas de coronavirus est repassé au-dessous de la barre des 300, se félicite le président du Syndicatnational des praticiens de publique (SNPSP), le Dr Lyes Merabet, qui plaide pour un dépistage massif.La situation épidémique liée à la Covid-19 se stabilise en Algérie, où le nombre de nouveaux cas de coronavirus est repassé au-dessous de la barre des 300, se félicite le président du Syndicatnational des praticiens de publique (SNPSP), le Dr Lyes Merabet, qui plaide pour un dépistage massif.
"Effectivement, on peut dire que la situation est en trainde s'améliorer nettement. Elle s'est même stabilisée depuis plus de deux semaines où nous avons été sur une courbe descendante. Même au niveau des hôpitaux il y a moins de pression, tant au niveau des consultations, des urgences et même dans les services dédiés aux hospitalisations( Covid). Il y a même des services qui ont été vidés", a expliqué Dr Merabet pour un site d'information électronique. Mais l'amélioration de la situationsanitaire ne signifie pas la fin de l'épidémie.
"Il est encore trop tôt pour dire que le problème est derrièrenous. Je pense que ces données nous incitent à être plus dans le respect des mesures barrières, et bien entendu tout en accompagnant ce retour à ?la normale', avec tous les protocoles qu'il faudrait respecter", remarque Dr Merabet. Pour preuve, ce qui se passe ailleurs dans le monde où la tendance est au reconfinement et au durcissement des mesures barrières suite à une flambée des nouveaux cas de contamination. "On ne peut pas occulter ce qui s passe dans d'autres pays comme en Europe où après le déconfinement on est en train de fermer des écoles et de reconfiner, même de manière circonscrite, après un rebond des contaminations", relève le Dr Merabet.
Dépistage : "Nous ne sommes toujours pas au niveau requis"
Le président du Snpsp insiste sur le port du masque et recommande d'élargir le dépistage le maximum possible. "On n'avait pas les moyensde le faire au tout début, et on fait le même constat six mois après. Nous ne sommes toujours pas au niveau requis", se désole le Dr Merabet. Pour lui, "le retour de la vie sociale doit être accompagné par un dépistage le plus massif possible, de façon à suivre les changements dans les indicateurs de santé et agir de manière rapide". Le président du SNPSP relève que le virus du Covid-19 est plus contagieux mais sa virulence semble avoir diminué.
"De plus en plus de malades présentent des symptômes légers et bénins qui nécessitent seulement un contrôle et une surveillance réguliers, avec surtout le respect de la règle de confinement à domicile. Mais pour la plupart ce sont des malades qui ne nécessitent aucun traitement spécifique. Il appartient aux chercheurs de déterminer comment le virus a perdu de sa virulence et sa dangerosité sur le corps humain", souligne le Dr Merabet
"Effectivement, on peut dire que la situation est en trainde s'améliorer nettement. Elle s'est même stabilisée depuis plus de deux semaines où nous avons été sur une courbe descendante. Même au niveau des hôpitaux il y a moins de pression, tant au niveau des consultations, des urgences et même dans les services dédiés aux hospitalisations( Covid). Il y a même des services qui ont été vidés", a expliqué Dr Merabet pour un site d'information électronique. Mais l'amélioration de la situationsanitaire ne signifie pas la fin de l'épidémie.
"Il est encore trop tôt pour dire que le problème est derrièrenous. Je pense que ces données nous incitent à être plus dans le respect des mesures barrières, et bien entendu tout en accompagnant ce retour à ?la normale', avec tous les protocoles qu'il faudrait respecter", remarque Dr Merabet. Pour preuve, ce qui se passe ailleurs dans le monde où la tendance est au reconfinement et au durcissement des mesures barrières suite à une flambée des nouveaux cas de contamination. "On ne peut pas occulter ce qui s passe dans d'autres pays comme en Europe où après le déconfinement on est en train de fermer des écoles et de reconfiner, même de manière circonscrite, après un rebond des contaminations", relève le Dr Merabet.
Dépistage : "Nous ne sommes toujours pas au niveau requis"
Le président du Snpsp insiste sur le port du masque et recommande d'élargir le dépistage le maximum possible. "On n'avait pas les moyensde le faire au tout début, et on fait le même constat six mois après. Nous ne sommes toujours pas au niveau requis", se désole le Dr Merabet. Pour lui, "le retour de la vie sociale doit être accompagné par un dépistage le plus massif possible, de façon à suivre les changements dans les indicateurs de santé et agir de manière rapide". Le président du SNPSP relève que le virus du Covid-19 est plus contagieux mais sa virulence semble avoir diminué.
"De plus en plus de malades présentent des symptômes légers et bénins qui nécessitent seulement un contrôle et une surveillance réguliers, avec surtout le respect de la règle de confinement à domicile. Mais pour la plupart ce sont des malades qui ne nécessitent aucun traitement spécifique. Il appartient aux chercheurs de déterminer comment le virus a perdu de sa virulence et sa dangerosité sur le corps humain", souligne le Dr Merabet
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Posté Le : 09/09/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com