Dans ce contexte, le docteur Kamel Fercha, avocat à El Eulma, consultant juridique international auprès de l'ONU, a été chargé par cette institution d'une étude sur le phénomène en question. Un problème que l'intéressé connaît parfaitement de par sa fonction d'avocat et de chargé de cours à l'université de Bejaïa. De nombreuses familles de harraga, -ayant péri en mer,- se sont rapprochées de lui pour lui faire part de la disparition de leurs enfants en mer ou de ceux détenus dans les différents pays.
Cette étude permettra au chercheur d'évaluer le nombre de harraga, celui des familles sans nouvelles de leurs enfants, (par rapport aux harraga disparus et ceux morts), et de dégager les moyens de lutte contre ce phénomène. Evidemment ce travail de longue haleine devra àªtre mené par le Dr Kamel Fercha, en étroite collaboration avec le collectif des familles de harraga disparus en mer (qui est très actif), dont le porte-parole, Kamel Belabed, est sur tous les fronts.              Â
Vous êtes bien culoté pour poser une question pareille ... Encore des parasites qui veulent sucer le sang de l'Algérie.
Salima - Professeur - Alger, Algérie
18/02/2011 - 11493
esque les famille des harraguas peuvent avoirent des reparration sure leur enfant est quelle etat devais peyer.
fercha Abdelhak - Etudiant droit publique - batna, Algérie
16/02/2011 - 11449
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Posté Le : 08/11/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : L. Bourdim
Source : www.elwatan.com