Algérie

Le disque rayé Sous la Plume



Le disque rayé                                    Sous la Plume
Les hôpitaux du pays vont connaître des perturbations à compter de ce jour. La faute à qui ' Aux médecins ou à leur tutelle qui ne tient pas ses engagements. La dernière hypothèse est de loin la plus probable. Certes le ministre qui a assisté à la dernière assemblée générale, jaugeant la grogne des hospitalo-universitaires, s'était engagé une fois de plus - on ne compte plus le nombre de promesses faites - à prendre en charge leurs revendications. Un mensonge de plus qui ne fait absolument pas rougir le très honorable ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière, le docteur Djamel Ould Abbès. Alors aujourd'hui, le président du syndicat met les pieds dans le plat et appelle à un débrayage de trois jours d'abord, où les soins ne seront pas assurés, les interventions chirurgicales se feront à froid et les centres d'imageries seront portes closes. Si les choses restent au point mort, les maîtres- assistants et profs passeront à la vitesse supérieure et débrayeront durant une semaine reconductible. Oui ! le scénario de l'an passé est remis au goût du jour. Bien obligé ! Quand les questions du régime indemnitaire de la santé, la pénurie sévère de médicaments, la mise en place d'une agence du médicament ne les ayant nullement convaincus, les chefferies d'unité restées en plan avec à la clé des promesses sans lendemain devenues une marque de fabrique, les hospitalo - universitaires n'ont que la contestation sur le terrain pour tenter de faire valoir leurs droits. Les malades sont les premiers pénalisés, mais ne le sont-ils pas également avec la crise du médicament ou la fermeture des services vitaux comme l'oncologie ' Ne retenons aucun grief pour les consultations non assurées, et les écrans d'imagerie médicale qui affichent un écran noir. Soyons magnanimes, la corporation fait face depuis deux ans à des engagements d'un ministre loin d'être avare de promesses qui prennent aujourd'hui l'allure d'un disque rayé.
Les hôpitaux du pays vont connaître des perturbations à compter de ce jour. La faute à qui ' Aux médecins ou à leur tutelle qui ne tient pas ses engagements. La dernière hypothèse est de loin la plus probable. Certes le ministre qui a assisté à la dernière assemblée générale, jaugeant la grogne des hospitalo-universitaires, s'était engagé une fois de plus - on ne compte plus le nombre de promesses faites - à prendre en charge leurs revendications. Un mensonge de plus qui ne fait absolument pas rougir le très honorable ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière, le docteur Djamel Ould Abbès. Alors aujourd'hui, le président du syndicat met les pieds dans le plat et appelle à un débrayage de trois jours d'abord, où les soins ne seront pas assurés, les interventions chirurgicales se feront à froid et les centres d'imageries seront portes closes. Si les choses restent au point mort, les maîtres- assistants et profs passeront à la vitesse supérieure et débrayeront durant une semaine reconductible. Oui ! le scénario de l'an passé est remis au goût du jour. Bien obligé ! Quand les questions du régime indemnitaire de la santé, la pénurie sévère de médicaments, la mise en place d'une agence du médicament ne les ayant nullement convaincus, les chefferies d'unité restées en plan avec à la clé des promesses sans lendemain devenues une marque de fabrique, les hospitalo - universitaires n'ont que la contestation sur le terrain pour tenter de faire valoir leurs droits. Les malades sont les premiers pénalisés, mais ne le sont-ils pas également avec la crise du médicament ou la fermeture des services vitaux comme l'oncologie ' Ne retenons aucun grief pour les consultations non assurées, et les écrans d'imagerie médicale qui affichent un écran noir. Soyons magnanimes, la corporation fait face depuis deux ans à des engagements d'un ministre loin d'être avare de promesses qui prennent aujourd'hui l'allure d'un disque rayé.


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