Algérie

Le diktat des faux plagistes



Les plages continuent d'être squattées, pardes individus anonymes qui imposent aux citoyens des tarifs d'entrée alors quel'accès devrait être gratuit.Les plages continuent d'être squattées, pardes individus anonymes qui imposent aux citoyens des tarifs d'entrée alors quel'accès devrait être gratuit.
Le phénomènen'est pas prêt de disparaître, malgrél'assurance des autorités sur cette question.La côte algéroise est sous la féruled'énergumènes qui contrôlent pratiquementtoutes les plages. Dans certainsendroits, on affiche que l'entrée est gratuite,mais malgré ça, des jeunes sansbadges imposent des tarifs de 200 DA auxriverains et aux familles qui désirent s'yinstaller. Parfois des bagarres éclatent, comme à Boumerdès où les jeunes ne rechignent pas à employer la violencepour imposer leur autorité. Ces jeunes,pour la plupart désoeuvrés, n'attendent quel'été pour trouver des jobs dans les plages.Un phénomène récurrent qui pose desérieuses entraves, à la quiétude des vacanciersqui recherchent des moments dedétente en ces temps de canicule. Pourtant,la gestion des plages, comme cela a étéprécisé par le ministre de l'Intérieur, revient de droit à l'Office des parcs et loisirs (OPLA), qui est un organisme public affilié à la wilaya.
Il en va de même pour les autres régions côtières. Les autorités publiques avaient assuré, dés le mois dejuin, que l'accès aux plages demeure gratuit et aucune charge ne devrait être payé par le citoyen. D'ailleurs, la loi 03-02 du 17 février 2003 indique clairement la gratuité d'accès. Pour assurer la sécurité des estivants, les services de sécurité sont mobilisés à cet effet, mais on note que des "exploitants", qui nesont pas agréés, sont là pour imposer un ticket d'entrée avec l'obligation d'un parasol et d'une chaise, avec un coût total qui avoisine les 500 à 600 DA, selon les plages fréquentées. Ce racket bien établi se déroule dans une passivité totale des autorités, alors que ces dernières ont toujours indiqué que le cahier de charges nouveau exige le nom de l'exploitant et son matricule d'identification, et qu'il doit garantir seulement l'installation des équipements de plages, moyennant un prix fixe.
Les exploitants de plages doivent égalementsignaler le périmètre qu'ils contrôlent, avec des balises. Mais là encore, il n'y aaucun respect de cette réglementation. Le citoyen est obligé de débourser des sommes consistantes, avec les frais du parking à 100 DA, pour se frayer une place. Toutes les astuces sont bonnes, pour ces arnaqueurs qui s'emploient à vider les poches des familles. Il faut direque les solutions ne manquent pas à cet usage ,pour créer de véritables emplois à ces jeunes chômeurs, au lieu de les laisser végéter dans le terrain du bricolage
Le phénomènen'est pas prêt de disparaître, malgrél'assurance des autorités sur cette question.La côte algéroise est sous la féruled'énergumènes qui contrôlent pratiquementtoutes les plages. Dans certainsendroits, on affiche que l'entrée est gratuite,mais malgré ça, des jeunes sansbadges imposent des tarifs de 200 DA auxriverains et aux familles qui désirent s'yinstaller. Parfois des bagarres éclatent, comme à Boumerdès où les jeunes ne rechignent pas à employer la violencepour imposer leur autorité. Ces jeunes,pour la plupart désoeuvrés, n'attendent quel'été pour trouver des jobs dans les plages.Un phénomène récurrent qui pose desérieuses entraves, à la quiétude des vacanciersqui recherchent des moments dedétente en ces temps de canicule. Pourtant,la gestion des plages, comme cela a étéprécisé par le ministre de l'Intérieur, revient de droit à l'Office des parcs et loisirs (OPLA), qui est un organisme public affilié à la wilaya.
Il en va de même pour les autres régions côtières. Les autorités publiques avaient assuré, dés le mois dejuin, que l'accès aux plages demeure gratuit et aucune charge ne devrait être payé par le citoyen. D'ailleurs, la loi 03-02 du 17 février 2003 indique clairement la gratuité d'accès. Pour assurer la sécurité des estivants, les services de sécurité sont mobilisés à cet effet, mais on note que des "exploitants", qui nesont pas agréés, sont là pour imposer un ticket d'entrée avec l'obligation d'un parasol et d'une chaise, avec un coût total qui avoisine les 500 à 600 DA, selon les plages fréquentées. Ce racket bien établi se déroule dans une passivité totale des autorités, alors que ces dernières ont toujours indiqué que le cahier de charges nouveau exige le nom de l'exploitant et son matricule d'identification, et qu'il doit garantir seulement l'installation des équipements de plages, moyennant un prix fixe.
Les exploitants de plages doivent égalementsignaler le périmètre qu'ils contrôlent, avec des balises. Mais là encore, il n'y aaucun respect de cette réglementation. Le citoyen est obligé de débourser des sommes consistantes, avec les frais du parking à 100 DA, pour se frayer une place. Toutes les astuces sont bonnes, pour ces arnaqueurs qui s'emploient à vider les poches des familles. Il faut direque les solutions ne manquent pas à cet usage ,pour créer de véritables emplois à ces jeunes chômeurs, au lieu de les laisser végéter dans le terrain du bricolage


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