Algérie

Le dg de l'AADL sévit


Les entreprises de réalisation de logements AADL ont été sommées d'achever leurs travaux dans les délais fixés. Tout retard sera sanctionné, des entreprises ont été mises en demeure pendant que certains contrats seront résiliés. Lors de son inspection dans la commune de Rahmania à Alger, le DG de l'AADL, Tarek Belaribi a été ferme :Les entreprises de réalisation de logements AADL ont été sommées d'achever leurs travaux dans les délais fixés. Tout retard sera sanctionné, des entreprises ont été mises en demeure pendant que certains contrats seront résiliés. Lors de son inspection dans la commune de Rahmania à Alger, le DG de l'AADL, Tarek Belaribi a été ferme :
"Nous ne tolérerons plus de retard, les logements doivent être finis dans les délais. Autrement, l'Etat va appliquet des sanctions sévères". Cette menace plane donc sur certaines entreprises de réalisation et promoteurs qui accusent un immense retard dans leurs chantiers. Le DG de l'AADL en a recensé une dizaine à travers le territoire national, des mises en demeure leur ont été adressées il y a une semaine. Le DG de l'AADL a confirmé lors de sa tournée dans le site que "les 40.000 unités programmées jusqu'à la fin de l'année doivent être achevées sans tarder" faisant savoir que "la cadence sera accélérée pour certains du moment qu'on observe une amélioration de la situation sanitaire". M. Belaribi a estimé que "dans certaines wilayas, les travaux connaissent un taux d'avancement de près de 97 % alors que dans d'autres des chantiers sont toujours à la traine". La direction de l'AADL a rappelé avant-hier dans un communiqué que "si l'entreprise de réalisation, objet de mise en demeure, ne répond pas aux instructions précitées dans le cahier de charges, les mesures coercitives prévues dans la législation en vigueur seront prises à l'encontre de l'entreprise".
Pour se faire entendre, le DG de l'AADL a adressé, déjà au cours du mois de novembre dernier, des mises en demeure à des entreprises dans les wilayas de Sétif, El- Tarf, Constantine et Tizi-Ouzou. L'autre constat relevé par le département de l'AADL est "la mauvaise qualité de l'exécution de certaines unités qui ne répondent pas aux normes de construction telles qu'elles aient été édictées dans le cahier de charge de 2020". D'autres entreprises se sont mises à l'arrêt prétextant la menace de la pandémie sanitaire sur leurs ouvriers. Un argument rejeté par le ministère de l'Habitat qui n'a, jusque-là, ordonné aucun arrêt de chantier. Parmi les dérive constatées, il y a celles qui concernent le terrassement, les erreurs dans les plans de charge, les mauvaises élaborations des VRD (voies et réseaux divers). Ces entreprises, dont le nombre n'a pas été révélé, ont vu leurs contrats suspendus pendant que certains ont été carrément résiliés. Ces entreprises sont portées actuellement dans une liste noire et ne pourront prétendre à aucun chantier à l'avenir.
"Nous ne tolérerons plus de retard, les logements doivent être finis dans les délais. Autrement, l'Etat va appliquet des sanctions sévères". Cette menace plane donc sur certaines entreprises de réalisation et promoteurs qui accusent un immense retard dans leurs chantiers. Le DG de l'AADL en a recensé une dizaine à travers le territoire national, des mises en demeure leur ont été adressées il y a une semaine. Le DG de l'AADL a confirmé lors de sa tournée dans le site que "les 40.000 unités programmées jusqu'à la fin de l'année doivent être achevées sans tarder" faisant savoir que "la cadence sera accélérée pour certains du moment qu'on observe une amélioration de la situation sanitaire". M. Belaribi a estimé que "dans certaines wilayas, les travaux connaissent un taux d'avancement de près de 97 % alors que dans d'autres des chantiers sont toujours à la traine". La direction de l'AADL a rappelé avant-hier dans un communiqué que "si l'entreprise de réalisation, objet de mise en demeure, ne répond pas aux instructions précitées dans le cahier de charges, les mesures coercitives prévues dans la législation en vigueur seront prises à l'encontre de l'entreprise".
Pour se faire entendre, le DG de l'AADL a adressé, déjà au cours du mois de novembre dernier, des mises en demeure à des entreprises dans les wilayas de Sétif, El- Tarf, Constantine et Tizi-Ouzou. L'autre constat relevé par le département de l'AADL est "la mauvaise qualité de l'exécution de certaines unités qui ne répondent pas aux normes de construction telles qu'elles aient été édictées dans le cahier de charge de 2020". D'autres entreprises se sont mises à l'arrêt prétextant la menace de la pandémie sanitaire sur leurs ouvriers. Un argument rejeté par le ministère de l'Habitat qui n'a, jusque-là, ordonné aucun arrêt de chantier. Parmi les dérive constatées, il y a celles qui concernent le terrassement, les erreurs dans les plans de charge, les mauvaises élaborations des VRD (voies et réseaux divers). Ces entreprises, dont le nombre n'a pas été révélé, ont vu leurs contrats suspendus pendant que certains ont été carrément résiliés. Ces entreprises sont portées actuellement dans une liste noire et ne pourront prétendre à aucun chantier à l'avenir.
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