Le service de chirurgie générale du centre hospitalo-universitaire Nedir-Mohamed a été paralysé hier par une grève des praticiens de ce service qui ont observé, hier matin, un piquet de grève. Les protestataires ont aussi marqué leur action par un rassemblement devant le pavillon des urgences médico-chirurgicales. Après quoi, les grévistes, une trentaine, ont marché jusqu'au siège de la direction
générale du CHU où un autre sit-in a été organisé.
Les praticiens du service de chirurgie générale demandent le départ du directeur général du CHU, Abbès Ziri, auquel il est reproché « une mauvaise gestion ».
Le professeur Abbès Ziri, directeur du CHU, a indiqué hier aux journalistes que cette action de protestation n'est qu'une réaction au rappel à l'ordre adressé en novembre dernier au chef de service du bloc de chirurgie générale, le professeur Madjid Belhocine, pour mettre en service le troisième bloc opérationnel mais non fonctionnel depuis sa rénovation, il y a trois mois.
Deux appareils sophistiqués ne sont pas en service à ce jour dans ce service. Selon le directeur du CHU, cette inertie de la part du chef de service a causé une anarchie à l'intérieur dudit service.
« Les patients inscrits sur la liste d'attente pour faire l'objet d'une intervention ne fait que s'allonger depuis 2005. Sommé administrativement d'accomplir sa tâche, le chef de service n'a pas trouvé mieux que de monter le personnel contre la direction générale » affirme le directeur.
Pour sa part, le bureau local du Syndicat national des praticiens de la Santé publique a souligné dans une déclaration, rendue publique hier, que : « La situation conflictuelle qui prévaut au sein du CHU-TO et qui déstabilise les praticiens et pénalise les malades nous interpellent en notre qualité de partenaire social actif. Le bureau local du CHU-TO du SNPSP décide d'assurer ses responsabilités en appelant les différents acteurs du CHU à plus de sagesse, principalement les membres du Comité des sages d''uvrer au règlement du conflit avec justice et efficacité afin de concentrer tous nos efforts pour une meilleure prise en charge du malade dans les meilleures conditions ».
Le bureau local du SNPSP du CHU-TO se dit être préoccupé par cet état de faits tout en étant disposé à 'uvrer dans le sens d'un règlement définitif du conflit.
Le service de chirurgie générale du centre hospitalo-universitaire Nedir-Mohamed a été paralysé hier par une grève des praticiens de ce service qui ont observé, hier matin, un piquet de grève. Les protestataires ont aussi marqué leur action par un rassemblement devant le pavillon des urgences médico-chirurgicales. Après quoi, les grévistes, une trentaine, ont marché jusqu'au siège de la direction
générale du CHU où un autre sit-in a été organisé.
Les praticiens du service de chirurgie générale demandent le départ du directeur général du CHU, Abbès Ziri, auquel il est reproché « une mauvaise gestion ».
Le professeur Abbès Ziri, directeur du CHU, a indiqué hier aux journalistes que cette action de protestation n'est qu'une réaction au rappel à l'ordre adressé en novembre dernier au chef de service du bloc de chirurgie générale, le professeur Madjid Belhocine, pour mettre en service le troisième bloc opérationnel mais non fonctionnel depuis sa rénovation, il y a trois mois.
Deux appareils sophistiqués ne sont pas en service à ce jour dans ce service. Selon le directeur du CHU, cette inertie de la part du chef de service a causé une anarchie à l'intérieur dudit service.
« Les patients inscrits sur la liste d'attente pour faire l'objet d'une intervention ne fait que s'allonger depuis 2005. Sommé administrativement d'accomplir sa tâche, le chef de service n'a pas trouvé mieux que de monter le personnel contre la direction générale » affirme le directeur.
Pour sa part, le bureau local du Syndicat national des praticiens de la Santé publique a souligné dans une déclaration, rendue publique hier, que : « La situation conflictuelle qui prévaut au sein du CHU-TO et qui déstabilise les praticiens et pénalise les malades nous interpellent en notre qualité de partenaire social actif. Le bureau local du CHU-TO du SNPSP décide d'assurer ses responsabilités en appelant les différents acteurs du CHU à plus de sagesse, principalement les membres du Comité des sages d''uvrer au règlement du conflit avec justice et efficacité afin de concentrer tous nos efforts pour une meilleure prise en charge du malade dans les meilleures conditions ».
Le bureau local du SNPSP du CHU-TO se dit être préoccupé par cet état de faits tout en étant disposé à 'uvrer dans le sens d'un règlement définitif du conflit.
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Posté Le : 19/12/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L B
Source : www.lemidi-dz.com