Certains projets de réalisation de logements sociaux notamment enregistrent un grand retard et risquent de ne pas être livrés à temps pour cause de manque de main d'oeuvre.Certains projets de réalisation de logements sociaux notamment enregistrent un grand retard et risquent de ne pas être livrés à temps pour cause de manque de main d'oeuvre.Les conséquences du manque de main d'oeuvre dans le secteur agricole et celui du bâtiment commencent à se faire ressentir. Ce phénomène n'est toutefois pas propre à la wilaya de Boumerdès puisque plusieurs régions du pays sont frappées de plein fouet par cette carence retardant même le développement local.Un entrepreneur en bâtiment et travaux publics nous dira qu'il envisage même de changer d'activité au cas où le problème venait à persister. « J'ai soumissionné pour un projet dans le secteur du bâtiment, j'ai remporté la soumission, mais depuis je peine à démarrer les travaux en raison du manque d'ouvriers », nous a-t-il confié.Notre interlocuteur indique que dans le cas où les travaux= n'avanceraient pas selon les clauses du cahier de charges, le maître d'ouvrage peut recourir à des mises en demeure et même, dans certains cas, résilier le contrat conformément au code des marchés publics. Certains projets de réalisation de logements sociaux enregistrent un grand retard et risquent de ne pas être livrés à temps. L'exemple le plus édifiant est celui du projet des 30 logements de Naciria, un projet inscrit en 2003, qui connait des retards énormes car la plupart des entreprises n'ayant pas d'ouvriers. Cela sans ajouter le non lancement des travaux VRD à temps.Les bénéficiaires de ces logements, dont la quasi totalité continue d'habiter les chalets, s'impatientent et pressent les autorités locales d'achever les travaux avant l'entame de la saison hivernale. En plus de cela, les projets de réalisation d'infrastructures publiques à l'instar des établissements scolaires risquent de ne pas être livrés dans les délais. Le chantier de construction d'un lycée dans la commune de Kharrouba est l'un des projets accusant un retard pénalisant. Un entrepreneur nous dira qu'il a fait des pieds et des mains pour chercher des ouvriers pour honorer son cahier de charge.Les conséquences du manque de main d'oeuvre dans le secteur agricole et celui du bâtiment commencent à se faire ressentir. Ce phénomène n'est toutefois pas propre à la wilaya de Boumerdès puisque plusieurs régions du pays sont frappées de plein fouet par cette carence retardant même le développement local.Un entrepreneur en bâtiment et travaux publics nous dira qu'il envisage même de changer d'activité au cas où le problème venait à persister. « J'ai soumissionné pour un projet dans le secteur du bâtiment, j'ai remporté la soumission, mais depuis je peine à démarrer les travaux en raison du manque d'ouvriers », nous a-t-il confié.Notre interlocuteur indique que dans le cas où les travaux= n'avanceraient pas selon les clauses du cahier de charges, le maître d'ouvrage peut recourir à des mises en demeure et même, dans certains cas, résilier le contrat conformément au code des marchés publics. Certains projets de réalisation de logements sociaux enregistrent un grand retard et risquent de ne pas être livrés à temps. L'exemple le plus édifiant est celui du projet des 30 logements de Naciria, un projet inscrit en 2003, qui connait des retards énormes car la plupart des entreprises n'ayant pas d'ouvriers. Cela sans ajouter le non lancement des travaux VRD à temps.Les bénéficiaires de ces logements, dont la quasi totalité continue d'habiter les chalets, s'impatientent et pressent les autorités locales d'achever les travaux avant l'entame de la saison hivernale. En plus de cela, les projets de réalisation d'infrastructures publiques à l'instar des établissements scolaires risquent de ne pas être livrés dans les délais. Le chantier de construction d'un lycée dans la commune de Kharrouba est l'un des projets accusant un retard pénalisant. Un entrepreneur nous dira qu'il a fait des pieds et des mains pour chercher des ouvriers pour honorer son cahier de charge.
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Posté Le : 22/09/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : TAHAR OUNAS
Source : www.lemidi-dz.com