Algérie

«Le Déluge d’El Aqsa» a emporté la muraille des mensonges de la colonie génocidaire juive de peuplement d’Israël



Publié le 19.03.2024 dans le Quotidien le soir d’Algérie
MOURAD BENACHENHOU

Par Mourad Benachenhou

«La pensée politique israélienne a été façonnée au cours de la période pré-étatique et, dans sa cristallisation, a constitué un rituel de plusieurs concepts de base : (1) la construction progressive d'un potentiel économique et militaire comme base pour la réalisation d'objectifs politiques ; (2) alliance avec une grande puissance extérieure au Moyen-Orient ; (3) la non-reconnaissance de l’existence d’une entité nationale palestinienne ; (4) la mission civilisatrice du sionisme dans une zone sous-développée ; (5) la ségrégation économique, sociale et culturelle comme conditions préalables à la renaissance de la vie nationale juive ; (6) le concept de ‘’la paix par la force’’.» (dans : Le sionisme et les Palestiniens, Simha Flapan, éditeur : Croom Helm, Londres, 1978)

L’expression «guerre Israël-Hamas», employée tant par les «médias libres» que par la majorité des dirigeants des «démocraties avancées», est tout simplement une tentative cruelle non seulement de camoufler la complicité active de ces «démocraties au cœur tendre» dans la vaste entreprise d’extermination menée par une bande de criminels fanatiques extrémistes juifs sur l’ensemble de la Palestine occupée, en faisant un vaste champ de la mort (killing field), qui n’auraient jamais pu ni osé mener à ciel ouvert ce massacre sans l’appui militaire illimité et la couverture politique et médiatique sans faille et sans réserve, mais également, et pire encore, de représenter le peuple à faire disparaître de la surface de la terre comme l’agresseur et les génocidaires, comme les victimes, ce qui est le comble du cynisme et le plus bas de l’échelle de la moralité humaine... Mais, comme dit un proverbe yddish, «cachez le mensonge dans la mer, elle le revomira».

Pour justifier non seulement son sinistre projet d’extermination du peuple palestinien, qui date de bien avant l’Holocauste, dont les Juives et Juifs n’ont pas été les seules victimes, mais également l’embargo sur toute information révélant exactement ce qu’elle est et ce qu’elle fait, la colonie de peuplement génocidaire juive d’Israël a, jusqu’à encore récemment, pu se présenter comme la victime d’une «haine irraisonnable et injustifiable de la part d’ennemis irrationnels».

Tout en pratiquant une politique visant à éliminer définitivement le peuple palestinien de la surface de cette terre, les leaders sanguinaire de cette colonie veulent lui enlever toute légitimité et tout lien avec une terre qu’il occupe depuis des millénaires, et sans doute bien avant que les hébreux y mettent les pieds et s’en proclament les propriétaires exclusifs de droit divin.

L’accusation d’antisémitisme et l’évocation de l’Holocauste ne peuvent plus protéger l’état juif d’Israël de la condamnation universelle de ses crimes

Les «chargés d’affaires» de cette colonie de peuplement, qui lui tiennent de gouvernement, comme d’ailleurs leurs appuis extérieurs, brandissent systématiquement le carton rouge de l’antisémitisme et le danger du prétendu «révisionnisme historique» qui viserait à minimiser la barbarie de l’Holocauste, pour empêcher toute divulgation de ses propres crimes et de sa propre barbarie.

Mais, avec la transformation de Ghaza en un vaste cimetière couvert de cadavres et de ruines, et dont les survivants au jour le jour sont condamnés à mourir de faim même s’ils échappent aux bombes et aux balles de leurs bourreaux, Israël ne peut plus jouer à la victime, ni accuser ses «ennemis» de vouloir sa disparition.

En se proclamant «État juif» et en prétendant donner la seule interprétation théologiquement valable du judaïsme, elle fait endosser à cette religion et à tous ses membres à travers le monde le poids de ses crimes sanglants, bien que nombre d’entre eux n’embrassent pas le sionisme, et condamnent sa politique extrémiste fanatique, et la considèrent comme un danger mortel pour leur religion.

La muraille du silence a été enfin abattue !

Le grondement du flot de celles et ceux qui osent s’attaquer au mythe longtemps entretenu d’un «peuple persécuté, innocent et sans défense» devient de plus en plus important, et de plus en plus audible, même parmi les défenseurs les plus acharnés de ce mythe, et la vérité commence à le réduire peu à peu en simple murmure honteux, qui sera bientôt balayé dans l’opinion publique, malgré l’insistance de certains politiciens et d’une grande partie des médias du monde libre à le perpétuer. Ni l’accusation d’antisémitisme ni le rappel de l’Holocauste et l’évocation de ses survivants, qui n’arrêtent jamais de «survivre», ne suffiront plus à protéger la colonie de peuplement d’Israël de la condamnation et du mépris universels qu’elle mérite par les actions de ses chefs autoproclamés, les crimes que commettent ses services de sécurité et son armée vingt-quatre sur vingt-quatre et pendant les douze mois de l’année, sans interruption, et sans la moindre manifestation d’humanisme ou de pitié envers le peuple martyr de Palestine. La page est tournée pour l’entreprise sioniste, bien que ses dirigeants actuels, aveuglés par leur «invincibilité militaire déléguée», ne le comprennent pas encore et défient un monde de plus en plus indigné, et de mieux en mieux informé de ce qui se passe réellement en Palestine occupée, et fait la distinction entre le bourreau juif et la victime palestinienne.

La mer a fini par vomir les mensonges sionistes ! Et ce n’est que le début du déluge qui donnera à une entreprise génocidaire le même sort que les entreprises de ce genre ont eu au cours de l’Histoire.

Justifier la barbarie juive en Palestine historique détruit la crédibilité morale et intellectuelle de ceux qui s’y accrochent !

L’Institut des relations internationales et stratégiques est un think tank quasi officiel, réalise, suivant ce qui est affirmé dans son site internet, «des études ou organise des conférences pour les administrations dans le secteur des questions internationales et stratégiques (ministère des Affaires étrangères, ministère de la Défense, Secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale, etc.) et ses experts sont fréquemment auditionnés par les commissions parlementaires du Sénat et de l’Assemblée nationale».

C’est une institution qui n’a rien de marginal dans le système de formulation des idées qui sous-tendent l’action politique dans la sixième puissance du monde. On ne saurait l’accuser de nourrir des sympathies ouvertes ou cachées de type « islamo-gauchiste» ou de professer des idées systématiquement hostiles aux «valeurs» ou aux «intérêts» de l’Occident.

Sa crédibilité ne saurait donc être sujette à caution du fait de positions idéologiques préétablies biaisant ses analyses. Cette objectivité donne encore plus de poids aux récentes critiques émises par Pascal Boniface, son directeur, expert reconnu des problèmes internationaux actuels, contre la couverture médiatique comme les prises de position des dirigeants occidentaux face à la tragédie que vit actuellement le peuple de Ghaza, soumis à une tentative d’extermination, sous le couvert de «détruire une organisation terroriste».

Le directeur de l’IRIS démonte les thèmes de la propagande sioniste repris unanimement par les dirigeants et les médias du «monde libre»

Dans un clip publié sur Youtube, intitulé «Ghaza, le débat faussé», ce chercheur — particulièrement courageux dans ce contexte d’hystérie anti-palestinienne, où la moindre des critiques contre l’entité sioniste est qualifiée «d’antisémite» — accuse les uns et les autres tout simplement de soutenir, sans nuance, la version sioniste des évènements actuels et de reprendre et de confirmer à la lettre les déclarations des dirigeants sionistes, mettant la responsabilité des évènements présents sur une organisation palestinienne, et justifiant la violence barbare de la réaction «israélienne». Il rompt ainsi avec l’unanimisme qui caractérise la position «occidentale» sur la «question palestinienne». Il va même, dans un autre de ses clips, rappeler ce qu’avait écrit, il y a quatorze années de cela sur le drame de Ghaza, Stephane Hessel. «ancien résistant et écrivain français, il publiait Indignez-vous ! en 2010. Criant d'actualité, il y déplorait la situation des 1,5 million de Palestiniens piégés dans la ‘‘prison à ciel ouvert’’ que représente Ghaza, mais aussi les exactions commises par Israël. Accusé d'antisémitisme pour avoir pris ces positions, il avait pourtant lui-même été déporté à Buchenwald par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.» (Indignez-vous ! : le message de Stéphane Hessel, toujours d’actualité IRIS (iris-france.org)

Un combat pour la fin de l’oppression sioniste juive contre le peuple palestinien

Boniface détruit, ainsi, totalement la thèse reprise en boucle par les dirigeants, comme par les médias des «démocraties avancées» selon laquelle le 7 octobre 2023 aurait marqué le début d’une guerre, déclenchée unilatéralement et sans d’autres motivations que «la haine des Juifs» par «un groupe terroriste» contre le territoire et la population d’Israël, État présenté «comme pacifique et innocent.»

En conséquence, toujours selon cette version, Israël n’aurait fait qu’user de son droit de se défendre en se lançant, de toute sa puissance de feu, dans cette attaque, tous gants enlevés, contre le peuple de Ghaza. Donc la faute de cette violence et des quelque 31000 morts, dont les trois quarts sont des femmes et des enfants, retomberait totalement sur «l’organisation terroriste».

En conclusion de cette version totalement fausse des évènements, les pays occidentaux seraient totalement justifiés de prêter main-forte à Israël et de l’aider à éliminer cette «organisation terroriste», même par la destruction totale de l’infrastructure de cette enclave et le déplacement forcé de sa population. Ainsi, en appuyant sans réserve Israël dans cette opération d’une rare cruauté, les États occidentaux, tout comme leurs médias, prendraient la position morale, politique et légale la plus conforme aux règles régissant les comportements des «sociétés civilisées». Boniface détruit totalement cette argumentation en rappelant que l’agresseur a été, et est encore, Israël. Il souligne que cette opération militaire contre Ghaza n’a rien d’une riposte «justifiée» à «des actes terroristes, mais entre dans le cadre d’un projet visant à «éliminer la question palestinienne, en exterminant tout simplement le peuple palestinien».

Boniface ne fait que rappeler un certain nombre de vérités historiques et présenter l’opération israélienne pour ce qu’elle est : un simple épisode de l’entreprise génocidaire qui est le fondement et la raison d’être du sionisme sur le territoire de la Palestine historique.

Le dessein génocidaire d’israël n’a rien de secret

Boniface n’implique rien qui ne soit déjà connu. Il est indispensable de rappeler la description de tout ce qui, dans la Palestine occupée, constitue un «génocide».

On ne peut que citer Ginette Hess Skandrani, Alsacienne de naissance, porteuse de valises et membre du réseau Jeanson de soutien au peuple algérien en lutte, pendant la guerre de Libération nationale, et maintenant militante française de la cause palestinienne, accusée, évidemment, d’antisémitisme et même de «négationnisme» ! Cette militante sait de quoi elle parle, car elle a eu l’opportunité, au vu de sa nationalité, de constater sur place comment les autorités sionistes traitent la population palestinienne. Voici ce qu’elle écrit : «Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas ! En Palestine occupée, on peut observer depuis un demi-siècle les formes modernes d’un génocide commis tranquillement, avec un aplomb hallucinant, au vu et au su de tout le monde : massacres par bombardement de populations civiles, enfants tués ou estropiés par des snipers, démolition de maisons, rationnement de l'eau, empoisonnement des puits, des animaux, des cultures, diffusion de gaz toxiques, empêchement d'accéder aux soins et à l'école, destruction des écoles et des universités, entraves aux accouchements, avortements provoqués par empoisonnement par des gaz, irradiation des populations dans certains check-points, assassinat des élites intellectuelle, religieuse, scientifique et politique, puits bouchés, oliviers arrachés, destruction de la vie culturelle, sociale et économique, commerces, usines, ateliers et champs démolis, villages et bourgs rasés jusqu'aux fondations, déportations de masse organisées par la terreur des massacres et par l'épuisement, production d'électricité détruite, destruction des infrastructures sanitaires, égouts et tuyaux d'écoulement d'eaux détruits, ambulances, cliniques et hôpitaux détruits, médecins et infirmières assassinés, stress continuel par drones volant la nuit, avions passant le mur du son tous les jours, tortures, disparitions, kidnappings, punitions et persécutions collectives, couvre-feu permanent, chantage, famine organisée par l'occupant. Plus de la moitié des Palestiniens souffre de malnutrition et de sous-alimentation chronique grave entraînant chez plus du tiers des enfants des invalidités et des déficiences définitives à vie. Plus de dix mille prisonniers croupissent dans les prisons sionistes, dont de nombreuses femmes et beaucoup d'enfants. L'usage de la torture est constant, et se déroule sous le contrôle de médecins israéliens.» (http://www.aredam.net/un-genocide-programme-celui-des-palestiniens.htlm)

Ce n’est là qu’un extrait de son document qui entre dans les détails de l’état de siège auquel a été soumise la bande de Ghaza, avant l’opération d’extermination actuellement en cours, où les crimes contre l’humanité commis par la soldatesque juive se déroulent en jets continus, chacun effaçant l’autre par une barbarie qui ne connaît ni limites ni le moindre brin de pitié ou d’humanité. Ghaza est devenue un vaste abattoir !

Ghaza n’est que l’application à grande échelle d’une politique établie d’extermination

On veut également faire croire que la politique de la destruction massive des infrastructures et du massacre où ne sont épargnés ni femmes, ni enfants, ni nouveau-nés, ni vieillards, serait la conséquence directe de l’attaque du 7 octobre. Rien n’est plus faux.
Cette volonté d’effacer toute trace de ceux des Palestiniens et Palestiniennes qui osent s’opposer aux sionistes n’est nullement nouvelle, mais est systématiquement appliquée, comme le rappelle l’extrait suivant d’un article rapportant une opération de destruction d’un groupe de maisons et de meurtres de plusieurs familles palestiniennes à Jenine en 2003, et dont le nom de l’auteur ne laisse aucun doute sur son origine : «Le gouvernement d'Israël, utilisant l'armée et ses instruments de destruction, non seulement répand du sang, mais il s'étouffe aussi. Quel autre nom peut-on donner au largage d'une bombe d'une tonne sur une zone urbaine dense, alors que la justification est que nous voulions assassiner un dangereux terroriste et sa femme ? Le reste des citoyens qui ont été tués et blessés, parmi lesquels figuraient des enfants et des femmes, ne compte pas, bien sûr.»

«Comment est-il possible d'expliquer l'expulsion des citoyens de chez eux à trois heures du matin par une nuit pluvieuse, en plaçant des bombes dans leurs maisons, puis en partant sans avertissement ? Lorsque les personnes expulsées se sont rendues chez elles, les bombes ont explosé ; ainsi, un meurtre brutal et une destruction de biens ont été commis. Et quelle est la justification de ce qui s'est passé à Jenine ? Il a été dit que nous n'avons pas détruit tout le quartier, seulement 85 maisons ; ce n'était pas un massacre, nous n'avons tué qu'une cinquantaine de citoyens. Combien de personnes faut-il assassiner et détruire avant qu'on ne l'appelle un crime — un crime contre l'humanité, tel que déterminé par les lois de l'État d'Israël, et pas seulement par celles de la Belgique.» (Dans Meurtre sous le couvert de la bonne conscience : il n'y a pas de méthode fixe pour le génocide, Aloni Shulamit. Peace Research ; Winnipeg Vol. 35, Iss. 1, (mai 2003) : 29-31.)

Affirmer qu’israël est une démocratie : un mensonge impudent qui cache la vraie nature du régime juif raciste dénoncé même par une ONG israélienne

Dans son clip, Boniface a mentionné qu’Israël se targuait d’être un pays «démocratique». Il a justement fait remarquer que la démocratie ne pouvait justifier le génocide du peuple palestinien, mais n’est, cependant, pas allé jusqu’à réfuter l’affirmation qu’Israël serait «une démocratie». On cite ici une ONG israélienne qui rejette cette affirmation et précise que cet État pratique l’apartheid, qui est tout à l’opposé de la démocratie où il y a un seul groupe de citoyennes et citoyens jouissant des mêmes droits et du même pouvoir de participer à la vie collective de sa communauté.

Voici ce qu’énonce cette ONG israélienne, qu’il est impossible d’accuser d’antisémitisme :
«C'est l'apartheid. Environ 15 millions de personnes, dont environ la moitié juive et l'autre moitié palestinienne, vivent entre le Jourdain et la mer Méditerranée, sous une seule autorité. La perception qu'il y a deux régimes distincts sur ce territoire — une démocratie d'un côté de la ligne verte, à l'intérieur des frontières souveraines d'Israël, et une occupation militaire temporaire de l'autre — est séparée de la réalité.
Un même régime régit toute la région et le sort de tous ceux qui s'y trouvent. Ce régime fonctionne selon un seul principe d'organisation : faire progresser et cimenter la suprématie d'un groupe — les Juifs — par rapport à un autre — les Palestiniens. Sous ce régime, les citoyens juifs ont le monopole du pouvoir politique. Seuls les Juifs ont un véritable siège à la table où leur sort, et le sort des Palestiniens, est déterminé.

Ce n'est pas une démocratie. C'est l'apartheid.» https://www.btselem.org/publications/202210_not_a_vibrant_democracy_this_is_apartheid’

En conclusion

La barbarie des sionistes n’est plus à démontrer devant la transformation de tout le territoire de la Palestine occupée en vaste «champ de la mort» (killing field).

La frénésie meurtrière des dirigeants de l’État juif d’Israël n’épargne ni femmes, ni enfants, ni bébés, ni vieillards, ni malades, et fait des villes et villages des champs de ruine, détruit les récoltes et rend inexploitables les terres agricoles, tue par les bombes et les balles, et réduit à la famine les survivants temporaires de cette folie sanguinaire, qui ne connaît ni règles morales ni lois internationales, défie l’humanité entière.

La vérité finit par éclater, et tous les slogans et mensonges qui ont servi pour justifier le génocide à ciel ouvert du peuple palestinien, génocide perpétré par la colonie de peuplement juive d’Israël, commencent à perdre de leur crédibilité falsifiée.

Ne peuvent plus être évoqués, pour protéger les Juives et les Juifs impliqués directement dans ce génocide, ni le carton rouge d’antisémitisme ni l’évocation de l’Holocauste, auquel n’a pris part aucun Palestinien, mais dans lequel les sionistes n’ont pas hésité à mettre la main pour faire avancer leur cause, et les preuves de cette collusion entre eux et le IIIe Reich sont suffisamment solides et suffisamment nombreuses pour ne pas être sujettes à rejet ou à caution.

La propagande sioniste a totalement perdu de sa crédibilité et la preuve en est la multiplication des voix et des écrits — dont certains en provenance d’Israël même — de ceux qui remettent en cause l’historiographie de cette idéologie criminelle et de ses objectifs, tout comme ses versions de ce qui se passe sur le territoire de la Palestine historique.

Il est évident que tant que les condamnations des massacres perpétrés par Israël contre le peuple palestinien se réduiront à de simple admonitions, les chances de survie du peuple palestinien ne peuvent être que réduites.

On attend donc d’abord des intellectuels et des médias des «démocraties avancées» de cesser de couvrir les crimes des sionistes, de rapporter leurs méfaits au lieu de les encourager à continuer leur guerre génocidaire contre le peuple palestinien, et ensuite que les dirigeants des pays qui comptent de cesser d’appuyer ce projet génocidaire, en offrant armes, munitions, et appui politique à cette bande de fanatiques juifs qui gèrent Israël.

Il en va de la crédibilité du «monde libre» et de ses valeurs, que rejettent visiblement et sans réserves les dirigeants sionistes.
Affirmer qu’Israël partagerait les mêmes valeurs que ce cette colonie de peuplement est une contre-vérité qui ne résiste pas aux faits, et une insulte à l’intelligence des peuples et la manifestation d’un mépris total pour les droits de l’Homme dont leurs gouvernants se proclament défenseurs.

Israël rejette la notion de droits de l’Homme, qui est contraire à l’idéologie sioniste, et ses tenants ne s’en cachent pas, et en font même un motif de fierté ! Alors pourquoi ces États «démocratiques» s’acharnent-ils à faire croire ce qui n’est pas et qui est clairement refusé et réfuté par les dirigeants de cette colonie de peuplement juive ?
M. B.



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