Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), basé à New York (USA), a appelé, le 4 janvier dernier, les autorités algériennes à "libérer immédiatement et sans condition" le journaliste et militant Merzoug Touati, condamné la veille, soit le 3 janvier, par le tribunal de Ghardaïa, à 1 an de prison ferme assortie d'une amende de 100 000 DA.Après avoir rappelé la genèse de l'affaire du propriétaire du site Elhogra.com, les responsables du CPJ demandent au gouvernement algérien d'"abandonner toutes les charges retenues contre Merzoug Touati, et veiller à ce que les journalistes en Algérie puissent travailler sans craindre d'être emprisonnés".
"Il est honteux que les autorités algériennes aient arrêté à plusieurs reprises le journaliste Merzoug Touati et l'aient harcelé pour sa couverture de sujets sensibles", a déclaré le coordinateur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena) du CPJ, Sherif Mansour, cité sur le site du comité.
KAMAL OUHNIA
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Posté Le : 06/01/2022
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Kamal OUHNIA
Source : www.liberte-algerie.com