Après des violences impliquant des salafistes, la sécurité a été renforcée en Tunisie des appels au calme ont été entendus dans les mosquées. La situation semble s'apaiser en Tunisie. Après la flambée de violence attribuée à des salafistes et des casseurs lundi et mardi, le gouvernement avait instauré un couvre-feu dans huit régions. Couvre-feu qui a été levé ce vendredi, a annoncé le ministère de l'Intérieur rapporte l'Express.
Des appels au calme ont été lancés dans plusieurs mosquées lors de la grande prière de ce vendredi en Tunisie. "La situation sécuritaire est normale", selon le gouvernement, du début de la semaine.
Dès jeudi soir, les islamistes avaient lancé des signes "d'apaisement": le parti Ennahda, au pouvoir, et plusieurs factions radicales avaient renoncé à manifester pour "défendre les valeurs du sacré", après l'interdiction de toute marche par le ministère de l'Intérieur.
Lybie
Attentats
anti-Occidentaux à Benghazi
Benghazi est secouée depuis un mois par une série d'attentats qui prennent pour cibles des symboles de la présence ou du style de vie occidentaux en Libye. Revendiquées par d'obscures groupuscules islamistes, ces attaques qui n'ont pas fait de morts mais que les autorités semblent pour l'instant impuissantes à endiguer, suscitent une inquiétude croissante. La préoccupation est d'autant plus grande que cette vague de violences survient à trois semaines d'une échéance cruciale pour l'avenir de la Libye post-révolutionnaire : l'élection d'une assemblée constituante, le 7 juillet, censée remplacer le Conseil national de transition (CNT), le bras politique de la rébellion anti-Kadhafi, qui pilotait jusqu'à ce jour la transition.
Le dernier attentat en date a visé un salon de beauté, mercredi 13 juin, dont la devanture a été mitraillée par des individus circulant en voiture. Personne n'a été blessé dans les tirs. Deux de ses gardes du corps ont été blessés dans l'embuscade, qui aurait été conduite, selon une vidéo envoyée aux autorités locales, par des extrémistes se réclamant d'Al-Qaïda rapporte Le Monde.
Mardi 5 juin, c'est la mission diplomatique américaine à Benghazi, qui était victime d'un attentat à la bombe. L'explosion, qui n'a fait que de faibles dégâts, a été revendiquée par Les brigades du cheikh emprisonné Omar Abdul Rahman.
Après des violences impliquant des salafistes, la sécurité a été renforcée en Tunisie des appels au calme ont été entendus dans les mosquées. La situation semble s'apaiser en Tunisie. Après la flambée de violence attribuée à des salafistes et des casseurs lundi et mardi, le gouvernement avait instauré un couvre-feu dans huit régions. Couvre-feu qui a été levé ce vendredi, a annoncé le ministère de l'Intérieur rapporte l'Express.
Des appels au calme ont été lancés dans plusieurs mosquées lors de la grande prière de ce vendredi en Tunisie. "La situation sécuritaire est normale", selon le gouvernement, du début de la semaine.
Dès jeudi soir, les islamistes avaient lancé des signes "d'apaisement": le parti Ennahda, au pouvoir, et plusieurs factions radicales avaient renoncé à manifester pour "défendre les valeurs du sacré", après l'interdiction de toute marche par le ministère de l'Intérieur.
Lybie
Attentats
anti-Occidentaux à Benghazi
Benghazi est secouée depuis un mois par une série d'attentats qui prennent pour cibles des symboles de la présence ou du style de vie occidentaux en Libye. Revendiquées par d'obscures groupuscules islamistes, ces attaques qui n'ont pas fait de morts mais que les autorités semblent pour l'instant impuissantes à endiguer, suscitent une inquiétude croissante. La préoccupation est d'autant plus grande que cette vague de violences survient à trois semaines d'une échéance cruciale pour l'avenir de la Libye post-révolutionnaire : l'élection d'une assemblée constituante, le 7 juillet, censée remplacer le Conseil national de transition (CNT), le bras politique de la rébellion anti-Kadhafi, qui pilotait jusqu'à ce jour la transition.
Le dernier attentat en date a visé un salon de beauté, mercredi 13 juin, dont la devanture a été mitraillée par des individus circulant en voiture. Personne n'a été blessé dans les tirs. Deux de ses gardes du corps ont été blessés dans l'embuscade, qui aurait été conduite, selon une vidéo envoyée aux autorités locales, par des extrémistes se réclamant d'Al-Qaïda rapporte Le Monde.
Mardi 5 juin, c'est la mission diplomatique américaine à Benghazi, qui était victime d'un attentat à la bombe. L'explosion, qui n'a fait que de faibles dégâts, a été revendiquée par Les brigades du cheikh emprisonné Omar Abdul Rahman.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 17/06/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com