Le conseil de sécurité de l'Onu tire la sonnette d'alarme

Le Conseil de sécurité des Nations unies s'inquiète de l'ampleur des violences, de la piraterie et de la famine en Somalie, indique un communiqué onusien. Les violences liées au groupe d'insurgés somalien "shebab", la famine et les maladies ont causé la mort de près d'un million de personnes en Somalie depuis la chute du gouvernement central de ce pays en 1991, selon le communiqué du Conseil de sécurité, reproduit mardi par les médias. "Le Conseil est toujours préoccupé face à la persistance des dangers liés au phénomène de la piraterie et les violences armés sur les côtes somaliennes", selon le texte. "L'instabilité qui règne dans ce pays pauvre de la Corne de l'Afrique a favorisé ces problèmes", a estimé le Conseil de sécurité de l'Onu. Outre la dégradation de la situation humanitaire, la famine qui frappe la Somalie depuis sept mois a coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes, notamment dans le sud et le centre du pays. D'après un bilan de l'Onu daté de février, la famine est surmontée mais il reste plus de 2 millions de personnes qui ont toujours besoin d'aides alimentaires.Le Conseil de sécurité des Nations unies s'inquiète de l'ampleur des violences, de la piraterie et de la famine en Somalie, indique un communiqué onusien. Les violences liées au groupe d'insurgés somalien "shebab", la famine et les maladies ont causé la mort de près d'un million de personnes en Somalie depuis la chute du gouvernement central de ce pays en 1991, selon le communiqué du Conseil de sécurité, reproduit mardi par les médias. "Le Conseil est toujours préoccupé face à la persistance des dangers liés au phénomène de la piraterie et les violences armés sur les côtes somaliennes", selon le texte. "L'instabilité qui règne dans ce pays pauvre de la Corne de l'Afrique a favorisé ces problèmes", a estimé le Conseil de sécurité de l'Onu. Outre la dégradation de la situation humanitaire, la famine qui frappe la Somalie depuis sept mois a coûté la vie à des dizaines de milliers de personnes, notamment dans le sud et le centre du pays. D'après un bilan de l'Onu daté de février, la famine est surmontée mais il reste plus de 2 millions de personnes qui ont toujours besoin d'aides alimentaires.