Algérie

Le concours reporté



Le concours reporté
La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a annoncé lundi à Alger le report du concours de recrutement d'enseignants, initialement prévu le 23 avril, sans préciser la nouvelle date de ce concours qui concerne plus de 28.000 enseignants des différents paliers.La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a annoncé lundi à Alger le report du concours de recrutement d'enseignants, initialement prévu le 23 avril, sans préciser la nouvelle date de ce concours qui concerne plus de 28.000 enseignants des différents paliers.Lors d'une conférence de presse en marge d'une journée d'étude sur "les programmes scolaires de deuxième génération", Mme Benghebrit a précisé que "le report du concours n'est pas forcément négatif", estimant que "les candidats ont ainsi plus de temps pour s'y préparer".Les candidats intéressés pourront consulter les diplômes exigés, les spécialités et le programme du concours dès mardi sur le site du ministère (www.education.gov.dz), a fait savoir la ministre. Les inscriptions seront ouvertes du 28 mars au 17 avril prochain sur le site (www.onec.dz) de l'Office national des examens et concours (Onec), a-t-elle ajouté, précisant qu'après les inscriptions, des rendez-vous seront fixés aux candidats pour le dépôt des dossiers.Mme Benghebrit a souligné que son département avait réquisitionné 700 centres à travers l'ensemble du territoire national pour faciliter le dépôt des dossiers.A une question sur la menace de démission collective et de boycott du concours de recrutement par les enseignants contractuels qui contestent que le concours ne prenne pas compte de l'expérience, la ministre a assuré qu'aucune personne n'avait été lésée d'autant que le secteur, at- elle dit, leur a donné la chance au cours des deux dernières années d'être recrutés sur la base du diplôme.Le boycott du concours de recrutement reste un "choix personnel", a estimé la ministre, appelant les concernés à faire prévaloir la raison. La ministre de l'Education a, par ailleurs, annoncé la tenue, mardi, d'une réunion de haut niveau avec le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique en vue de tenter d'adapter le nombre de diplômés des Ecoles normales supérieures aux besoins du secteur jusqu'en 2030 et de définir le nombre d'ENS a ouvrir, ainsi que les spécialités et les niveaux requis.Il est à rappeler que Nouria Benghebrit a assuré que la réécriture des programmes scolaires "ne concernera d'aucune manière les constantes nationales". Intervenant lors d'une journée d'information sur les programmes de deuxième génération, en direction des partenaires sociaux, Mme Benghebrit a affirmé que la réécriture des programmes ne "saurait en aucun cas affecter les principes qui fondent la politique de l'Education conformément aux dispositions de la Constitution et la loi d'orientation sur l'Education nationale"."Le secteur s'emploie non seulement à promouvoir les valeurs liées à l'Islam, à l'arabité et à l'amazighité mais aussi à inculquer à nos enfants le sens de la citoyenneté et l'attachement à l'unité nationale et aux symboles de la nation", a-t-elle poursuivi. Dans le cadre de la réécriture des programmes, le ministère s'attelle à "mettre en avant le patrimoine national qui représente un taux infime dans les programmes actuels (2%)", a encore soutenu la ministre précisant que cet aspect sera essentiel dans les nouveaux programmes.Ils (programmes) seront axés sur l'"enseignement des dimensions géographique, historique, humaine et civilisationnelle du pays à travers l'introduction de nombreux auteurs algériens", a ajouté Mme Benghebrit soulignant que le défi du secteur est de "former une jeunesse équilibrée en parfaite harmonie avec sa société dotée des compétences l'habilitant à concevoir et à réaliser ses propres projets", a-t-elle dit. Mme Benghebrit a fustigé les "campagnes de dénigrement" visant le secteur et orchestrées par ignorance ou pour servir des intérêts occultes.Elle a appelé les partenaires sociaux à "les contrer". Le "défi" du secteur est d' assurer la stabilité de l'école algérienne et d'inscrire celle ci dans une dynamique d'amélioration, a - t-elle insisté faisant remarquer que la réalisation d'un tel objectif passait par la mobilisation de tous les citoyens jaloux de leur pays et conscients des menaces qui pèsent sur lui. Interrogée sur un possible recours par le secteur de l'Education à des experts étrangers, tel que colporté par certains médias, la ministre a répondu qu'"il est tout à fait normal d'établir une collaboration avec des experts dans un cadre bilatéral ou multilatéral dans l'objectif de tirer profit de l'expertise étrangère en matière de formation des enseignants et inspecteurs".La commission nationale des programmes est composée de quelque 200 experts et inspecteurs répartis sur 23 groupes, a fait savoir Mme Benghebrit soulignant que l'expérience française n'est pas la seule à être mise à profit. "Nous bénéficions aussi de celles de la Belgique, la Grande Bretagne et de l'Unesco"."Chaque département ministériel entretient des relations de coopération avec l'extérieur à travers des canaux officiels notamment le ministère des Affaires étrangères", a encore souligné Mme Benghebrit. "Le ministère de l'Education nationale n'agit pas dans la clandestinité comme allèguent certaines parties", a-t-elle martelé.Lors d'une conférence de presse en marge d'une journée d'étude sur "les programmes scolaires de deuxième génération", Mme Benghebrit a précisé que "le report du concours n'est pas forcément négatif", estimant que "les candidats ont ainsi plus de temps pour s'y préparer".Les candidats intéressés pourront consulter les diplômes exigés, les spécialités et le programme du concours dès mardi sur le site du ministère (www.education.gov.dz), a fait savoir la ministre. Les inscriptions seront ouvertes du 28 mars au 17 avril prochain sur le site (www.onec.dz) de l'Office national des examens et concours (Onec), a-t-elle ajouté, précisant qu'après les inscriptions, des rendez-vous seront fixés aux candidats pour le dépôt des dossiers.Mme Benghebrit a souligné que son département avait réquisitionné 700 centres à travers l'ensemble du territoire national pour faciliter le dépôt des dossiers.A une question sur la menace de démission collective et de boycott du concours de recrutement par les enseignants contractuels qui contestent que le concours ne prenne pas compte de l'expérience, la ministre a assuré qu'aucune personne n'avait été lésée d'autant que le secteur, at- elle dit, leur a donné la chance au cours des deux dernières années d'être recrutés sur la base du diplôme.Le boycott du concours de recrutement reste un "choix personnel", a estimé la ministre, appelant les concernés à faire prévaloir la raison. La ministre de l'Education a, par ailleurs, annoncé la tenue, mardi, d'une réunion de haut niveau avec le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique en vue de tenter d'adapter le nombre de diplômés des Ecoles normales supérieures aux besoins du secteur jusqu'en 2030 et de définir le nombre d'ENS a ouvrir, ainsi que les spécialités et les niveaux requis.Il est à rappeler que Nouria Benghebrit a assuré que la réécriture des programmes scolaires "ne concernera d'aucune manière les constantes nationales". Intervenant lors d'une journée d'information sur les programmes de deuxième génération, en direction des partenaires sociaux, Mme Benghebrit a affirmé que la réécriture des programmes ne "saurait en aucun cas affecter les principes qui fondent la politique de l'Education conformément aux dispositions de la Constitution et la loi d'orientation sur l'Education nationale"."Le secteur s'emploie non seulement à promouvoir les valeurs liées à l'Islam, à l'arabité et à l'amazighité mais aussi à inculquer à nos enfants le sens de la citoyenneté et l'attachement à l'unité nationale et aux symboles de la nation", a-t-elle poursuivi. Dans le cadre de la réécriture des programmes, le ministère s'attelle à "mettre en avant le patrimoine national qui représente un taux infime dans les programmes actuels (2%)", a encore soutenu la ministre précisant que cet aspect sera essentiel dans les nouveaux programmes.Ils (programmes) seront axés sur l'"enseignement des dimensions géographique, historique, humaine et civilisationnelle du pays à travers l'introduction de nombreux auteurs algériens", a ajouté Mme Benghebrit soulignant que le défi du secteur est de "former une jeunesse équilibrée en parfaite harmonie avec sa société dotée des compétences l'habilitant à concevoir et à réaliser ses propres projets", a-t-elle dit. Mme Benghebrit a fustigé les "campagnes de dénigrement" visant le secteur et orchestrées par ignorance ou pour servir des intérêts occultes.Elle a appelé les partenaires sociaux à "les contrer". Le "défi" du secteur est d' assurer la stabilité de l'école algérienne et d'inscrire celle ci dans une dynamique d'amélioration, a - t-elle insisté faisant remarquer que la réalisation d'un tel objectif passait par la mobilisation de tous les citoyens jaloux de leur pays et conscients des menaces qui pèsent sur lui. Interrogée sur un possible recours par le secteur de l'Education à des experts étrangers, tel que colporté par certains médias, la ministre a répondu qu'"il est tout à fait normal d'établir une collaboration avec des experts dans un cadre bilatéral ou multilatéral dans l'objectif de tirer profit de l'expertise étrangère en matière de formation des enseignants et inspecteurs".La commission nationale des programmes est composée de quelque 200 experts et inspecteurs répartis sur 23 groupes, a fait savoir Mme Benghebrit soulignant que l'expérience française n'est pas la seule à être mise à profit. "Nous bénéficions aussi de celles de la Belgique, la Grande Bretagne et de l'Unesco"."Chaque département ministériel entretient des relations de coopération avec l'extérieur à travers des canaux officiels notamment le ministère des Affaires étrangères", a encore souligné Mme Benghebrit. "Le ministère de l'Education nationale n'agit pas dans la clandestinité comme allèguent certaines parties", a-t-elle martelé.




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