Rien ne va plus à l'Enad de Sour El-Ghozlane. Sur les 530 travailleurs contractuels licenciés depuis le mois de février dernier, 34 avaient occupé les bureaux de la direction générale en signe de protestation, et usant de plusieurs actions : sit-in, grève de la faim, etc.
pour exiger leur réintégration dans leurs postes respectifs, seule ressource pour faire vivre leurs familles. Toutes les démarches entreprises n'ont malheureusement abouti à rien. Au contraire, le complexe a mis la clé sous le paillasson à cause de difficultés financières. Néanmoins, même si l'Enad bénéficierait du soutien de l'Etat dans le cadre de l'assainissement des entreprises publiques, cela suffira à peine à faire redémarrer la production avec le minimum de l'effectif. Cette situation très complexe tarde à être prise en charge.
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Posté Le : 27/09/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : M A
Source : www.lnr-dz.com