Algérie

Le coin du referee : Histoire de penalty



Les sportifs algériens ont dû remarquer, après plus de dix ans d’existence ou plutôt depuis sa naissance, que c’est la première fois qu’ils vérifient que cet important corps a un président qui use de son droit de réponse. Au fait, pour quelle offense ' Et quels sont ses éléments de défense. Les chevaliers du sifflet ont été molestés, de leurs équipements délestés dans certaines localités, souvent agressés et plus grave de corruption accusés, sans que leur président se soit manifesté. La genèse : M. Lacarne, spécialiste, passé maître dans l’art des mises à l’écart avec sous scellés au placard, mais au bout de deux successives conclusions (surtout celle ayant trait au destin (') réservé à certains rapports (dirigés) d’évaluateurs, a dû lui causer une occlusion. L’état-major de la CFA était en alerte, dérangé par la vérité. Sans le viser, car l’analyse de faits (actions) réels et de surcroît télévisés, ceci a écorché sa susceptibilité, car après une longue quiétude avec son lot de (bonnes) habitudes, parce que connaissant les rudiments inhérents à l’usage du sifflet avec toute sa spécificité,que les observateurs (neutres) ne cessent de mettre en exergue son manque d’équité concernant les promotions dans différents paliers, surtout ceux venant de la base, manquant (concernant les critères d’âge et de niveau d’instruction) de clarté. M. Lacarne aurait souhaité que les écarts énumérés soient occultés, sans parler de certains nouveaux promus catapultés. Quant à l’histoire du fameux match ASAM-MCA (saison 2000/2001), vous conviendrez,M. Lacarne, que l’espace de la chronique est essentiellement réservé à l’actualité, où il n’y a pas lieu que les anecdotes soient racontées, donc pour évoquer les fins détails dont vous détenez soigneusement les attendus, puisque vous étiez (déjà !) à l’époque le patron de l’arbitrage et donc pas propice pour énumérer tous les déboires et autres supplices que vous avez fait vivre à toute une génération d’anciens et de jeunes arbitres de ce vaste et beau pays qui ont été détruits en coulisses. Que les sportifs sachent que sous votre règne, ce moment d’histoire différemment jugé et commenté, vous a fait sauter de joie en aparté, cependant en public vous êtes resté de marbre pour taire le scénario fomenté et concocté de manière macabre et ce qui a suivi comme palabres. En me désignant pour ce match (revenir dans cette localité en l’espace de 20 jours après une précédente rencontre se soldant par une défaite des locaux), vous teniez dans vos mains un sabre, alors que moi je n’avais entre mes doigts qu’un sifflet, m’adossant, à côté des vestiaires du stade Demene Debih, à un arbre, mes yeux rivés, en fin de partie, sur ce grand candélabre. Et depuis, j’ai rangé mes affaires dans mon cartable et j’ai quitté la (le terrain) table, sans faire de bruit et sans m’accrocher l’air pitoyable. Sportivement. Chacun de nous a connu diverses fortunes. Sans rancune.


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