Algérie

Le cocktail du jeudi



Le cocktail du jeudi
Début mars, l'Arabie saoudite a publié une liste d'organisations terroristes comportant, entre autres, le nom de «l'Etat islamique en Irak et au Levant» (EIIL, ou Daech).Cette mesure ne dédouane pas le royaume wahhabite, qui constitue la principale source de soutien aux groupes extrémistes qui sévissent en Irak, en Syrie et dans le reste du monde. Un faisceau d'indices montre que malgré ses dénégations et ses démentis, l'Arabie saoudite constitue l'un des plus forts soutiens de « l'Etat islamique en Irak et au Levant », qui est l'une des organisations terroristes les plus sanguinaires de tous les temps, responsable de crimes abominables en Irak et en Syrie. Ce qui nous conduit à nous interroger sur l'hypocrisie des puissances occidentales qui, tout en prétendant combattre le terrorisme international, entretiennent des relations étroites et privilégiées avec cette monarchie obscurantiste. Le temps des moissons En Ukraine, après le fils de Joe Biden et les ministres-clés aux mains d'étrangers, une autre place forte du pouvoir à Kiev pourrait être administrée directement à la mode « coloniale ». D'après l'agence de presse APA de Bakou (Azerbaidjan) qui cite la télévision ukrainienne « Canale 112 », le prochain chef de la Banque Nationale d'Ukraine pourrait bien être le milliardaire américain George Soros lui-même. D'après KyivPost, l'homme d'affaires américain, George Soros, âgé de 84 ans, d'origine hongroise et émigré à New York en 1956, a financé à hauteur de 82 000 dollars la naissance du nouveau pouvoir exécutif ukrainien à travers un processus de chasseur de têtes. C'est ainsi qu'ont été identifiés pour les postes de ministres et de fonctionnaires hautement qualifiés, 185 candidats potentiels parmi les étrangers présents à Kiev et les membres de la communauté ukrainienne qui travaillent au Canada, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Ce même Soros ? d'après Fareed Zakaria de CNN -, après avoir financé des groupes et des activités de dissidents dans l'est de l'Europe, en Pologne et en République tchèque pendant les révolutions de 1989 « a contribué à renverser le précédent gouvernement ukrainien en vue de créer les conditions d'une démocratie filo-Occidentale, et a joué un rôle important dans les événements d'aujourd'hui tout comme dans la révolution orange de 2004.» Subversion. Une enquête d'Associated Press (AP) a révélé que l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (United States Agency for International Development, alias Usaid), a tenté pendant deux ans de créer et d'exploiter un réseau social à l'intérieur de Cuba, dans le but d'y provoquer des troubles et de renverser le gouvernement cubain. Ce programme s'est soldé par un échec complet, principalement car le gouvernement cubain a pris toutes les mesures nécessaires pour enquêter, interroger et démanteler ce qui ne peut être décrit que comme de la subversion financée par l'étranger.




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