Le Cnapeste est passé donc à l'action hier avec l'entrée en vigueur de sa "grève nationale illimitée" qui semble avoir été assez suivie, selon des échosparvenus à notre rédaction.Le Cnapeste est passé donc à l'action hier avec l'entrée en vigueur de sa "grève nationale illimitée" qui semble avoir été assez suivie, selon des échosparvenus à notre rédaction.
Messaoud Boudiba, responsable de la communication du Cnapest est revenu sur la réunion avortée avec les représentants de la ministre, dimanche expliquant, sur le plateau d'une télévision privée "ne pas sentir la bonne foi chez les responsables pour aborder franchement tous les problèmes."
Messaoud Boudiba a exigé "une rencontre en urgence avec la ministre, car il y a actuellement une orientation dangereuse dans le secteur, il y a des gens qui cherchent le pourrissement". Il ne donnera pas plus de précisions.
Cette grève n'est pas sans susciter des inquiétudes légitimes chez les parents d'élèves, qui se retrouvent, encor e une fois, eux et leurs enfants, otages d'un conflit qui les dépassent. "Cette grève va affecter le niveau des élèves, notamment ceux qui préparent les examens de fin d'année. Nous ne sommes pas contre les droits des enseignants, mais où sont les droits des élèves '", s'inquiète Ahmed Khaled, le président de l'Association nationale des parents d'élèves.
"Nous appelons les autorités pour intervenir en urgence, pour éloigner le spectre de l'année blanche", insiste-t-il dans une intervention téléphonique.
Messaoud Boudiba, responsable de la communication du Cnapest est revenu sur la réunion avortée avec les représentants de la ministre, dimanche expliquant, sur le plateau d'une télévision privée "ne pas sentir la bonne foi chez les responsables pour aborder franchement tous les problèmes."
Messaoud Boudiba a exigé "une rencontre en urgence avec la ministre, car il y a actuellement une orientation dangereuse dans le secteur, il y a des gens qui cherchent le pourrissement". Il ne donnera pas plus de précisions.
Cette grève n'est pas sans susciter des inquiétudes légitimes chez les parents d'élèves, qui se retrouvent, encor e une fois, eux et leurs enfants, otages d'un conflit qui les dépassent. "Cette grève va affecter le niveau des élèves, notamment ceux qui préparent les examens de fin d'année. Nous ne sommes pas contre les droits des enseignants, mais où sont les droits des élèves '", s'inquiète Ahmed Khaled, le président de l'Association nationale des parents d'élèves.
"Nous appelons les autorités pour intervenir en urgence, pour éloigner le spectre de l'année blanche", insiste-t-il dans une intervention téléphonique.
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Posté Le : 31/01/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R R
Source : www.lemidi-dz.com