« Le choix d'autres universités est lié à la situation en Egypte et en Syrie », affirme M. Mebarki

A une question d'un député sur les chercheurs et post-graduants algériens qui devaient partir à l'étranger en 2013 et tenus de changer d'université, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a indiqué que ce changement est dû à « la situation qui prévalait dans les pays comme la Syrie et l'Egypte ». En outre, le choix d'autres destinations, tels le Maroc et la Tunisie, n'a pas été concluant. Un délai de deux mois a été accordé à ces candidats, qui devaient au préalable suivre un processus de sélection et d'entretien, pour la constitution de leurs dossiers et le choix d'autres universités. De ce fait, « 33 sur 40 candidats ont pu accomplir ces formalités », a ajouté le ministre. Interpellé par un autre élu sur le problème de disponibilité d'infrastructures en matière d'enseignement, Mohamed Mebarki a déclaré que les étudiants en éducation physique et sportive (EPS) mènent leurs programmes selon le cursus. Ils disposent de séances (deux jours) théoriques et de séances (trois jours) pratiques. M. Mebarki a rappelé les projets de réhabilitation des piscines, stades de football et d'athlétisme, salles omnisports dont a bénéficié en ce sens l'Université d'Alger 3 de Delly Brahim, et les infrastructures du ministère de la Jeunesse et des Sports conventionnées mises à la disposition de ces étudiants pour les séances pratiques.