Algérie

Le chemin de la croissance retrouvé Port de Bejaia


Le port de Bejaia a retrouvé en 2011 son entière vitalité en réalisant un taux de croissance de lÆordre de 7%, représentant un trafic traité de plus de 13,5 millions de tonnes contre 12,7 millions en 2010, selon le PDG de lÆentreprise portuaire de Bejaia (EPB), M. Djelloul Achour.
Cette embellie a été générée en grande partie par la reprise du trafic des hydrocarbures qui, depuis 2009, a reculé sensiblement à cause de la rénovation dÆune partie du pipe-line reliant Bejaia à Hassi-Messaoud, et qui sÆest traduit, pendant ce laps de temps, par une réduction drastique des exportations à partir de Bejaia. Le poids de ce poste (Hydrocarbures) dans la nomenclature des activités globales du port, a fortement influé en effet les résultats obtenus de ces deux dernières années, voués à la baisse, malgré le dynamisme, affiché par celui des marchandises générales, qui a continué certes à progressé mais sans influence notable la chute des exportations dÆhydrocarbures, a expliqué M. Achour. La reprise de ces exportations depuis octobre dernier, allié à la crue du trafic hors hydrocarbures, siège dÆun volume traité de 9,39 millions de tonnes contre 8,9 millions de tonnes, soit une variation de plus de 5,66%, ont concouru à tirer vers le haut lÆensemble du bilan de lÆannée, a-t-il ajouté, précisant que pour leurs parts, les hydrocarbures, à lÆembarquement et au débarquement, durant lÆannée ont atteint 4,2 millions de tonnes contre 3,8 millions de tonnes en 2010. La hausse du trafic des marchandises hors hydrocarbures, réalisé quasi-exclusivement à lÆimportation, quant à elle, a été le fait de lÆévolution du trafic des céréales (+13%), le bois, (+6%) et les produits ferreux (+28%). En revanche, les exportations, déjà jugées modestes antérieurement, ont marqué le pas, baissant de 6,4%, induite pour lÆessentiel par le recul des exportations de sucre de plus de 11%, a ût-il relevé. Par ailleurs, ce bilan, a fait apparaître un recul du nombre de navires enregistrés à lÆentrée, passant de 1.310 navires en 2010 à 1.280 en 2011. Cette diminution nÆa pas influé, pour autant, sur la jauge brute transportée, celle-ci, en évolution de 10%, ayant été compensé par la réception de gros navires, a-t-il précisé.
Le port de Bejaia a retrouvé en 2011 son entière vitalité en réalisant un taux de croissance de lÆordre de 7%, représentant un trafic traité de plus de 13,5 millions de tonnes contre 12,7 millions en 2010, selon le PDG de lÆentreprise portuaire de Bejaia (EPB), M. Djelloul Achour.
Cette embellie a été générée en grande partie par la reprise du trafic des hydrocarbures qui, depuis 2009, a reculé sensiblement à cause de la rénovation dÆune partie du pipe-line reliant Bejaia à Hassi-Messaoud, et qui sÆest traduit, pendant ce laps de temps, par une réduction drastique des exportations à partir de Bejaia. Le poids de ce poste (Hydrocarbures) dans la nomenclature des activités globales du port, a fortement influé en effet les résultats obtenus de ces deux dernières années, voués à la baisse, malgré le dynamisme, affiché par celui des marchandises générales, qui a continué certes à progressé mais sans influence notable la chute des exportations dÆhydrocarbures, a expliqué M. Achour. La reprise de ces exportations depuis octobre dernier, allié à la crue du trafic hors hydrocarbures, siège dÆun volume traité de 9,39 millions de tonnes contre 8,9 millions de tonnes, soit une variation de plus de 5,66%, ont concouru à tirer vers le haut lÆensemble du bilan de lÆannée, a-t-il ajouté, précisant que pour leurs parts, les hydrocarbures, à lÆembarquement et au débarquement, durant lÆannée ont atteint 4,2 millions de tonnes contre 3,8 millions de tonnes en 2010. La hausse du trafic des marchandises hors hydrocarbures, réalisé quasi-exclusivement à lÆimportation, quant à elle, a été le fait de lÆévolution du trafic des céréales (+13%), le bois, (+6%) et les produits ferreux (+28%). En revanche, les exportations, déjà jugées modestes antérieurement, ont marqué le pas, baissant de 6,4%, induite pour lÆessentiel par le recul des exportations de sucre de plus de 11%, a ût-il relevé. Par ailleurs, ce bilan, a fait apparaître un recul du nombre de navires enregistrés à lÆentrée, passant de 1.310 navires en 2010 à 1.280 en 2011. Cette diminution nÆa pas influé, pour autant, sur la jauge brute transportée, celle-ci, en évolution de 10%, ayant été compensé par la réception de gros navires, a-t-il précisé.
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