Algérie - Moghrar

Le cheikh Moujahid Sidi Bou'amama qu'Allah l'agrée



Connaisseur des voies de dieu, seul serviteur de dieu et croyant, le combattant héros des savants, plein de générosité, de piété et de plusieurs documents découvertes.

Sidi Cheikh Abouamama Elbouchikhi Elsadiki ben Sidi Elarbi ben Sidi Cheikh ben Sidi Elhorma ben Sidi Mohamed ben Sidi Brahim ben Sidi Eltaj ben Cheikh Eltarika et Schems Elhakika Sidi Cheikh Abdelkader ben Mohamed que dieu lui accordent sa miséricorde et qu’ils reposent dans son grand paradis.

Sidi Cheikh Abou Abdellah Abdelkader Ben Sidi Mohamed Ben Sidi Slimane Ben Abi Samaha Ben Abi Leila Ben Aissa Abi Elhaiae Ben Maamar Ben slimane Abi Elalia Ben Saîd Ben Akil Ben Hafs Horma Allah Ben Assakir Ben Zaid Ben Hamid Ben Aissa Eltadli Ben Mohamed Elchabli ben Aissa ben Zaid ben Yazid ben Eltafil Elzaghaoui ben Abdellah ben Mohamed ben Anderrahmane ben Elssahibi Eldjalil Elkhalifa Elrrachidi Elawal Sidna Abi Bakr Elssedik que dieu soit satisfait de lui .


Né en 1840 à Figuig au Maroc, apprit le Coran tout jeune ainsi que les sciences islamiques dans la Zaouia sous l’autorité de plusieurs chouyoukhs et surtout de son père le saint savant Sidi Elarbi ben Cheikh, vécu dans un milieu saint, religieux et généreux, élevé dans une tradition arabo islamique.
La révolution des ouled sidi cheikh lui laissa séquelles c’est pour cela qu’il s’initia pour le combat au nom de dieu il contacta tous les Ouled sidi cheikh pour participer au combat au noms de dieu, il suivit « la Tariqa Ceikhiyya » du cheikh Sidi Mohamed ben Abderrahmane.




Sidi Bou'mama était à la fois une figure historique et un personnage mystique. Armé d'une large culture que les savants et érudits de Kairaouane lui avaient inculquée, il fonda sa Zaouia dans le but unifier les différents courants de confrérie et de rassembler les BOUCHIKHI. Il avait réussi à mettre fin aux divergences tribales de son époque. Il constitua sa base militaire dans son fief natal Moghrar Tahtania à Abiodh Sidi Cheikh ex-Geryville . En bon meneur d'hommes, il dirigeait la résistance contre le colonialisme en Algérie ; de 1881 à 1908, il avait commandé de nombreuses batailles, causant d'importantes pertes aux ennemis. Il avait jusqu à sa mort résisté à toutes les pressions aussi bien militaires que politiques
Il était un très grand intellectuel de très grande moralité, quelqu’un qui le cotaye raconta que celui ne riant jamais mais sauriant souvent comme le prophète Mohamed que le salut soit sur lui.

Ils respectait toujours les horaires de prières et ne montrait que le droit chemin qui ouvrait les portes du paradis, il racontait souvent aussi sur ces ancêtres les Ouled Sidi Cheikh, il est décédée en 1908 et fut enterré à la ville de Laiyoun est du Maroc .

Il fut remplacé par son fils Sidi Cheikh Haj Tayeb, il était parmi les gens pieux et généreux, et serviteur de dieu il meure en 1936, il fut enterré dans la Zaouia Bouamamia et fut aussi remplacé par son fils le saint Sidi Abdelhakem qui rendra visite à chaque fois à tous les tombeaux de ces ancêtres soit en Algérie ou au Maroc, il est décédé en 1966 et fut remplacé par son fils Sidi El haj Hamza patron actuel de la « la tariqa Ceikhiyya », très généreux, pieux, modeste possède beaucoup de dons, gêne beuacoup (carème) très croyant du coran et de la sonna .

La Zaouia Bouamamiyya se trouve à « Ain beni Mathar » sous préfecture de Jerada préfecture d’Oujda Maroc.

Ses portes sont ouvertes toute l’année et une Zerda est célébré chaque année pour la fête du Mawlid Ennabaoui Echarrif
Les Miracles de Sidi Bouamama




Prédictions sur l'avènement du cheikh :

1) Cheikh sidi abdelkader ben mohamed maître de la tarîqa cheikhiyya, s'adressant à son fils sidi tâdj, lui a annoncé l'avènement d'un maître qui serait le propre fils de ce dernier et qui lui succéderait.

2) Un autre saint-patron de la ville al-aghouat, sidi al-Hâdj aissa al-aghouati, Contemporain de sidi eddîne, petit fils de sidi cheikh, c'est-à-dire sidi chiekh a prédit à son tour l'avènement de cheikh bouamarna.

3) Sidi tâhar boutiba, un des saints-patrons de la ville de TIemcen, successeur au Maghreb de tidjâni, décédé en 1870, a lui aussi prédit l'avènement de cheikh bouamama.


Ses miracles :

4) II est rapporté qu'une fois, un jour de forte chaleur, pendant que la soif s'était emparé des soldats de cheikh bouamama, celui-ci tenant un bol rempli d'eau, dit à ses compagnons : faites abreuver vos chevaux. Au début, ils ne le crurent pas mais très vite ils furent convaincus lorsque le premier cheval but, ensuite le deuxième et après le troisième et jusqu'à ce que tous les chevaux burent sans que l'eau ne se soit épuisée.

5) On raconte aussi que l'armée coloniale avait lancé une fois une attaque contre un groupe de moudjahiddines, partisans du cheikh, dans une bourgade du désert algérien appelée fendi. Alors en plein combat, une tempête de sable s'était soulevée contre les colons et leurs agents et ce grâce à la baraka du cheikh.

6) Une fois, le cheikh en compagnie des moudjahiddines, livrant une guerre sainte à l'ennemi, a invoqué Allâh et a prononcé la formule « bi-smi-llâh » : au nom d'Allâh.

Après cela, il braqua son pistolet vers l'ennemi, tira un coup de feu et le mit en déroute. D'ailleurs le cheikh avait apaisé ses hommes en leur déclarant : « les armes de l'ennemi ne peuvent nous atteindre, elles ne font que du bruit ». On rapporte aussi que tous ceux qui étaient présents avec l'ennemi, à savoir les agents, déclarèrent avoir vu ce jour là les pierres et les arbres se transformer en armée nombreuse.

7) Un jour, dans le but de tuer le cheikh, ses ennemis lui offrirent par l'intermédiaire d'un agent un tonneau de beurre fondu empoisonné. Le cheikh alors invita l'agent à manger de ce beurre mais celui-ci s'est abstenu prétextant qu'il était rassasié. Le cheikh rétorqua : « viens manger, le poison ne tue pas, viens manger ». L'agent finit par manger et s'en alla. Le cheikh lui pardonna et ne le punit pas et lui ordonna de retourner d'où il était venu.

- Il est rapporté qu'un homme pendant qu'il effectuait son pèlerinage aux lieux saints, vit un sermonnaire ressemblant au cheikh bouamama et parlant en public. De retour, le cheikh le convoqua pour s'enquérir de son état, du pèlerinage et du sermonnaire.

L'homme raconta au cheikh tout ce qu'il avait vu et entendu. Le cheikh lui dit alors : « mon fils, qu'Allâh corrige tes propos. Allâh, maître des mondes, m'a honoré car cela fait vingt-quatre années que je suis sermonnaire à la mecque. Qu'Allâh corrige tes propos


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