Algérie

Le chant de Menoune dans La Grande Maison de Mo- hammed Dib : L’allégorie comme langage indirect et la force poéti- que de la parole féminine.



Lors de la fameuse scène de perquisition de police à Dar Sbitar, du fond de la maison, s’élève le chant de la jeune malade délirante Menoune, l’épouse répudiée, la mère privée de ses enfants. Le chant déstabilise les forces de police, les tétanise presque. Renouant avec la pratique de l’allégorie comme langage indirect, la parole qui est la sienne, en même temps qu’elle use de tous les mots d’une hospitalité séculaire, exhale une douleur profonde, et le tragique d’une existence…


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