Le Chabab dans le flou total

A l'image de ce qui s'est passé l'été dernier, voire même avant, le CR Belouizdad vit des moments extrêmement difficiles, marqués par le départ du président Bouhafs et de plusieurs joueurscadres.A l'image de ce qui s'est passé l'été dernier, voire même avant, le CR Belouizdad vit des moments extrêmement difficiles, marqués par le départ du président Bouhafs et de plusieurs joueurscadres.
Chaque jour apporte son lot de nouvelles informations sur leclub phare de Laâquiba. Aprèsla décision prise par le présidentBouhafs de quitter le navire en pleineagitation, beaucoup de joueurs sontannoncés dans d'autres clubs. Ainsi, les supporters de cette formationredoutent déjà le pire.
Au sein duclub, c'est le flou total. L'ancien présidentReda Malek accuse MahfoudKerbadj d'être derrière tous les problèmesqui minent le club ces dernières années."C'est Kerbadj qui était derrière mon départ du CRB. C'est lui qui aramené Bouhafs. Il doit, donc, assumerl'échec. Où est passé l'argent dela Coupe d'Algérie 2017. Bouhafs doit être jugé sur ça", a indiqué l'ancienprésident du Chabab RédaMalek. Personne ne s'est manifestépour prendre les commandes de l'équipe après le départ de Bouhafs et ce, malgré les tentatives des uns et des autres de trouver une issue à la crise.
Il y a deux semaines, le Chabab terminait un championnat des plus péniblesà la 11e place de la Ligue 1, sonpire classement ces dernières années.Deux mois plus tard, c'est à sedemander si cette formation algéroisene va pas tomber encore plus bas etvivre le même scenario de l'USMHarrach. Le CR Belouizdad est non seulement en train de rater le marché des transferts d'été, mais surtout il risque de compromettre la stabilité de son effectif. Plusieurs joueurs, et pas des moindres, sont sur le départ, tels que le gardien Abdelkader Salhi qui devrait signer à la JS Kabylie, Zakaria Draoui qui a opté pour l'ES Sétif, Naâmani, Lakroum et autres joueurs de grande valeur. Cela est dû à la crise dans laquelle se trouve l'équipe.
La situation catastrophique dans laquelle se trouve le CR Belouizdad ne date pas d'hier. Aujourd'hui, si personne ne se rapproche du club pour prendre le poste de président, c'est parce que l'entourage ne rassure personne. La preuve, Karim Chettouf, qui n'est autre que le président du CSA, n'a pas réussi à réunir les hommes forts du Chabab autour d'une table pour discuter de l'avenir du club. Pour espérer éviter le pire l'actuel président du club amateur du CRB, en l'occurrence Chettouf, veut convaincre les hommes d'affaires proches duclub de mettre la main dans la poche. Mais en vain, ces personnes refusent catégoriquement d'investir le moindre centime dans un contexte pareil. "Les choses s'annoncent mal pour leclub", a indiqué Chettouf et de confirmer : "Notre initiative de rassembler la famille du Chabab est tombé à l'eau.
"A propos de l'entraîneur Rachid Taoussi, ce même responsable rassure les supporters sur son maintien. Mais l'entraîneur lui-même avait indiqué qu'il a donné un ultimatum à la direction jusqu'à la fin de ce mois en cours pour régulariser sa situation sinon il quittera à son tour le navire.
Chaque jour apporte son lot de nouvelles informations sur leclub phare de Laâquiba. Aprèsla décision prise par le présidentBouhafs de quitter le navire en pleineagitation, beaucoup de joueurs sontannoncés dans d'autres clubs. Ainsi, les supporters de cette formationredoutent déjà le pire.
Au sein duclub, c'est le flou total. L'ancien présidentReda Malek accuse MahfoudKerbadj d'être derrière tous les problèmesqui minent le club ces dernières années."C'est Kerbadj qui était derrière mon départ du CRB. C'est lui qui aramené Bouhafs. Il doit, donc, assumerl'échec. Où est passé l'argent dela Coupe d'Algérie 2017. Bouhafs doit être jugé sur ça", a indiqué l'ancienprésident du Chabab RédaMalek. Personne ne s'est manifestépour prendre les commandes de l'équipe après le départ de Bouhafs et ce, malgré les tentatives des uns et des autres de trouver une issue à la crise.
Il y a deux semaines, le Chabab terminait un championnat des plus péniblesà la 11e place de la Ligue 1, sonpire classement ces dernières années.Deux mois plus tard, c'est à sedemander si cette formation algéroisene va pas tomber encore plus bas etvivre le même scenario de l'USMHarrach. Le CR Belouizdad est non seulement en train de rater le marché des transferts d'été, mais surtout il risque de compromettre la stabilité de son effectif. Plusieurs joueurs, et pas des moindres, sont sur le départ, tels que le gardien Abdelkader Salhi qui devrait signer à la JS Kabylie, Zakaria Draoui qui a opté pour l'ES Sétif, Naâmani, Lakroum et autres joueurs de grande valeur. Cela est dû à la crise dans laquelle se trouve l'équipe.
La situation catastrophique dans laquelle se trouve le CR Belouizdad ne date pas d'hier. Aujourd'hui, si personne ne se rapproche du club pour prendre le poste de président, c'est parce que l'entourage ne rassure personne. La preuve, Karim Chettouf, qui n'est autre que le président du CSA, n'a pas réussi à réunir les hommes forts du Chabab autour d'une table pour discuter de l'avenir du club. Pour espérer éviter le pire l'actuel président du club amateur du CRB, en l'occurrence Chettouf, veut convaincre les hommes d'affaires proches duclub de mettre la main dans la poche. Mais en vain, ces personnes refusent catégoriquement d'investir le moindre centime dans un contexte pareil. "Les choses s'annoncent mal pour leclub", a indiqué Chettouf et de confirmer : "Notre initiative de rassembler la famille du Chabab est tombé à l'eau.
"A propos de l'entraîneur Rachid Taoussi, ce même responsable rassure les supporters sur son maintien. Mais l'entraîneur lui-même avait indiqué qu'il a donné un ultimatum à la direction jusqu'à la fin de ce mois en cours pour régulariser sa situation sinon il quittera à son tour le navire.