La volonté de l'Etat à encourager et à accompagner la création de start-up et leur intégration dans le secteur économique bute sur un véritable casse-tête juridique. En effet, depuis les dernières annonces, les différents ministères s'attellent à trouver des artifices juridiques pour faciliter le processus aux jeunes pourvoyeurs d'idées de projets. Car, à ce jour, aucun cadre législatif ne définit clairement le statut des start-up en Algérie.Du coup, estiment les consultants qui travaillent actuellement sur la question, les jeunes entreprises ne peuvent pas évoluer comme il se doit, jugeant que leur statut n'existe même pas.
À titre illustratif, si une start-up entreprend des démarches au niveau d'une banque pour décrocher un crédit ou encore bénéficier d'avantages fiscaux, son propriétaire devra obligatoirement justifier son statut.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 30/12/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Liberté
Source : www.liberte-algerie.com