Le caroubier, une espèce noble, délaissé en Algérie

C'est un arbre puissant.

Son aire est moins étendue que celle de l'olivier.

Comme le thuya de barbarie, il demande des expositions chaudes où il atteint l'altitude de 600 mètres.

Très résistant à la sécheresse, à éviter dans les sols argileux et humides

(Données tirées du livre ' L'érosion, la défense et la restauration des sols, le reboisement en Algérie ' de Jacques Grèco).


Ici, sur cette photo, un vieux caroubier avec une circonférence exceptionnelle (dimension sera complétée), martyrisé, brûlé et il rejette de souche de manière remarquable.

Cette photo a été prise à Ibn Ziad en date du 25 septembre 2009, à Djenane N'chem, piémont du djebel Zouaoui.

Au même titre que l'olivier et dernièrement l'arganier, cette espèce doit faire l'objet d'une attention de la part des pouvoirs publics pour son développement.

A Béni Harroun, le caroubier est présent à l'état spontané mais ne fait l'objet d'aucun suivi, également au niveau des khnegs de Tiddis à Beni H'midène