Le calvaire des voyageurs Gare routière du caroubier

Contrairement aux périodes de fêtes passées, les voyageurs par route, en partance d'Alger ont eu moins de mal à trouver des places disponibles en cette dernière semaine de Ramadhan et ont pu regagner leurs villes d'origine pour y fêter l'Aid auprès des leurs. A l'approche de l'Aid El Fitr, le flux des voyageurs au niveau de la station de taxis inter-wilayas du Caroubier demeure, jusqu'à présent, moyen. Selon les professionnels du domaine, le fait que les étudiants et travailleurs soient, pour la plupart, en vacances, le mois d'août n'a pas drainé la foule enregistrée durant les autres périodes de fêtes où les moyens de transports en commun ne suffisent pas à la grande affluence des vacanciers.
C'est pratiquement toutes les destinations, y compris celles réputées pour être à forte affluence, qui s'avèrent bien desservies. A destination de l'Est, l'Ouest et de l'intérieur du pays, bien que les passagers ne peinent pas à embarquer, les ponctuels doivent, toutefois, se munir d'une grande patience pour supporter les longues et irritantes attentes pour que les taxis soient pleins avant le départ.
Sur les 150 mille taxis inter-wilayas, ce sont en moyenne 80.000, opérant sur le territoire national qui sont généralement de service les jours de fêtes. Bien que des directives fermes aient été données en vue de préserver les mêmes tarifs et éviter ainsi tout abus de la situation vis-à-vis des passagers de dernière minute, certains opportunistes piétinent sans hésitation les recommandations de la tutelle et s'obstinent à doubler voire tripler les prix des courses, le premier jour de l'Aid. Par ailleurs, de nombreux usagers se sont plaint des conditions de réception qui leur sont réservées au niveau de la principale station de taxi inter-wilayas de la capitale. L'absence d'abris, l'anarchie et le laissez- aller, le manque d'infrastructures d'accompagnement, notamment les sanitaires, autrement dit les toilettes publiques, et surtout le manque d'hygiène, sont autant de désagréments qui entravent le bien-être des clients du terminus du Caroubier.
En vue de rétablir l'ordre au sein de cette infrastructure d'accueil, le ministère des Transports a mis en vigueur un nouveau décret pour encadrer la profession de taxi et le transport de voyageurs. Datant du mois de mai 2012, le secteur appelle les professionnels et les gestionnaires des gares routières à mettre à la disposition des voyageurs par route toutes les commodités et les nécessités garantissant sa sécurité et sa satisfaction. Il s'agit de la gestion des stations de taxis inter wilayas et l'amélioration de la prestation de service. Cependant, dans le cas de la gare routière des taxis du Caroubier, elle demeure exposée à nombreux fléaux à l'image de la délinquance et de l'agressivité de certains individus qui errent dans ces parages sans objectifs si ce n'est se trouver une victime pour lui soustraire de l'argent et des effets de plus ou moins de valeur. A l'intérieur de la station, les conditions restent, malheureusement, loin de satisfaire les besoins des voyageurs, notamment, en ces dernières journées de jeûne où, généralement, le moindre désagrément peut être à l'origine d'un épuisement des forces et d'un relâchement des nerfs des usagers.
Contrairement aux périodes de fêtes passées, les voyageurs par route, en partance d'Alger ont eu moins de mal à trouver des places disponibles en cette dernière semaine de Ramadhan et ont pu regagner leurs villes d'origine pour y fêter l'Aid auprès des leurs. A l'approche de l'Aid El Fitr, le flux des voyageurs au niveau de la station de taxis inter-wilayas du Caroubier demeure, jusqu'à présent, moyen. Selon les professionnels du domaine, le fait que les étudiants et travailleurs soient, pour la plupart, en vacances, le mois d'août n'a pas drainé la foule enregistrée durant les autres périodes de fêtes où les moyens de transports en commun ne suffisent pas à la grande affluence des vacanciers.
C'est pratiquement toutes les destinations, y compris celles réputées pour être à forte affluence, qui s'avèrent bien desservies. A destination de l'Est, l'Ouest et de l'intérieur du pays, bien que les passagers ne peinent pas à embarquer, les ponctuels doivent, toutefois, se munir d'une grande patience pour supporter les longues et irritantes attentes pour que les taxis soient pleins avant le départ.
Sur les 150 mille taxis inter-wilayas, ce sont en moyenne 80.000, opérant sur le territoire national qui sont généralement de service les jours de fêtes. Bien que des directives fermes aient été données en vue de préserver les mêmes tarifs et éviter ainsi tout abus de la situation vis-à-vis des passagers de dernière minute, certains opportunistes piétinent sans hésitation les recommandations de la tutelle et s'obstinent à doubler voire tripler les prix des courses, le premier jour de l'Aid. Par ailleurs, de nombreux usagers se sont plaint des conditions de réception qui leur sont réservées au niveau de la principale station de taxi inter-wilayas de la capitale. L'absence d'abris, l'anarchie et le laissez- aller, le manque d'infrastructures d'accompagnement, notamment les sanitaires, autrement dit les toilettes publiques, et surtout le manque d'hygiène, sont autant de désagréments qui entravent le bien-être des clients du terminus du Caroubier.
En vue de rétablir l'ordre au sein de cette infrastructure d'accueil, le ministère des Transports a mis en vigueur un nouveau décret pour encadrer la profession de taxi et le transport de voyageurs. Datant du mois de mai 2012, le secteur appelle les professionnels et les gestionnaires des gares routières à mettre à la disposition des voyageurs par route toutes les commodités et les nécessités garantissant sa sécurité et sa satisfaction. Il s'agit de la gestion des stations de taxis inter wilayas et l'amélioration de la prestation de service. Cependant, dans le cas de la gare routière des taxis du Caroubier, elle demeure exposée à nombreux fléaux à l'image de la délinquance et de l'agressivité de certains individus qui errent dans ces parages sans objectifs si ce n'est se trouver une victime pour lui soustraire de l'argent et des effets de plus ou moins de valeur. A l'intérieur de la station, les conditions restent, malheureusement, loin de satisfaire les besoins des voyageurs, notamment, en ces dernières journées de jeûne où, généralement, le moindre désagrément peut être à l'origine d'un épuisement des forces et d'un relâchement des nerfs des usagers.