Le calvaire d'une enseignante

Et grand fut son étonnement de se voir menacée de licenciement, alors, soutient-elle, que «son responsable hiérarchique n’a jamais signalé ou transmis d’écrits attestant de l’irrégularité de mes absences». Elle ne s’explique pas le pourquoi de l’accusation émanant de l’administration quant «aux congés de complaisance», lesquels lui sont pourtant délivrés par des médecins de la CNAS.
En dépit du fait qu’elle ait été reçue et écoutée par le directeur de l’éducation, qui a pris au sérieux sa requête, elle s’est vue éjectée à la reprise de ses fonctions au mois de mai, et malgré son état de santé, à quelque 11 km du lieu de sa résidence, avec une promesse verbale de trouver une solution à son problème à la rentrée. Cette promesse n’a pas été tenue, et sa requête se heurte  toujours à un refus catégorique.